dimanche 25 septembre 2016

La dernière reine: victoria 1819-1901 de Philippe Alexandre et Beatrix de l'Aulnoit

RESUME: Victoria appartient à cette sorte de souverains pour qui, comme Louis XIV, un long règne a coïncidé avec l'apogée de la puissance de leur pays. C'est pourquoi on parle de l'époque, voire du siècle victorien, adjectif devenu synonyme de puritanisme austère et hypocrite. Mais Victoria l'était-elle elle-même ? Le récit alerte et vivant de Philippe Alexandre et Béatrix de l'Aulnoit dégage au contraire la figure méconnue d'une reine amante passionnée, éperdument amoureuse d'un mari dont la mort la laissa inconsolable ; mais aussi mère attentive pour ses neuf enfants, fine politique, et qui plus est, aquarelliste…

On découvre, en entrant ainsi dans les coulisses de l'histoire, un personnage complexe et fascinant, qui régna soixante-quatre ans durant sur un empire qui couvrit près du quart des terres émergées, et dont elle aurait pu dire, comme Charles Quint, que le soleil ne s'y couchait jamais. --Thomas Ferrier
Un mot de l'éditeur
En 1901 mourait Victoria, symbole d'un siècle d'austérité. Loin de la légende "victorienne", on découvre ici une souveraine et une femme ardente.

MON AVIS: Lorsque j'ai tourné la dernière page de ce livre, j'ai poussé un grand ouf de soulagement. Ce livre est très dense a lire, car très descriptif, avec beaucoup de noms a retenir. Sinon c'est une biographie très intéressante mais long a lire. Imaginez vous qu'en 1 semaine je n'avais lu que 85 pages!! De plus la taille de la police n'aide pas. Mais, malgré tout, j'ai beaucoup aime ce livre qui reste une biographie passionnante sur cette reine que j'ai redécouvert grâce a ce livre.
On y découvre une victoria très différente de ce que l'on peut voir dans les films et les livres: a savoir une femme au fort tempérament, butée avec un caractère très affirmé.
Les auteurs se sont basé pour écrire cette biographie, aux journaux intimes de la reine, a la presse de l'époque mais aussi aux témoignage des gens qui l'ont connu.
Ce livre est une pépite et un condensé de renseignement, mais aussi un livre magnifique, bien que je dois l'avoué, avec tout les détails de ce livre, il m'est arrivé a un moment de lire un peu en diagonale, lorsqu'il s'agissait d 'éléments que je connaissais déjà! Pourtant, je recommande chaudement ce livre qui est une source d'information sur cette reine que j'ai eu plaisir a découvrir, car comme vous le savez, je suis passionné par l'histoire. Après avoir beaucoup lu sur l'histoire de France et sa royauté, j'ai voulu me plongé dans l'histoire de l'Angleterre. Je suis ravis de cette lecture qui malgré quelques bémols, est une lecture a recommandé.

Le retour de Sherlock Homes de Sir Arthur Conan Doyle

RESUME: Ce volume contient les nouvelles suivantes La maison vide
- L'entrepreneur de Norwood
- Les hommes dansants
- La cycliste solitaire
- L'école du prieuré
- Peter le Noir
Charles-Auguste Milverton
- Les six Napoléons
- Les trois étudiants
- Le pince-nez en or
- Un trois-quarts a été perdu !
- Le manoir de l'Abbaye
- La deuxième tache

MON AVIS: Après ma déception sur les deux derniers volumes des aventures de Sherlock Holmes, j'hésitais un peu a en reprendre un autre. Celui ci, se passe environ trois ans après la fin des aventures de Sherlock Holmes. L'auteur avait fait mourir son personnage mais suite aux critiques de ses lecteurs, il a décidé de le faire revivre.
J'avoue que j'ai passé un bon moment avec ce recueil qui m'a bien plu comparé au dernier coup d'archet et aux aventures.
Ce recueil a beaucoup d'humour, déjà parce que Watson essaye de piqué les trucs de Holmes et mine de rien, il a de la jugeote, bien que de ce coté la, Holmes a plusieurs longueurs d'avance. Mais c'est amusant de le voir faire. De plus comme toujours, Holmes est pourri avec lui, surtout dans le cycliste solitaire, quand il l'envoie en mission et qu'après il critique sa façon de faire. On lui donnerais bien des claques mais qu'est ce qu'on l'aime comme ça!!
J'avoue que j'ai passé quelques nouvelles, notamment peter le noir et les six napoléons que je n'ai pas trouvé super passionnant.
Dans ce recueil, on peut constaté l'amitié que se porte les deux hommes, même si Holmes est souvent détestable avec Watson, en le rabaissant sans arrêt, on note quand même que Holmes l'apprécie. Watson de son coté, pas besoin de le dire, l'admire beaucoup et est très loyale envers lui. J'aime beaucoup aussi les personnages secondaire que l'on côtoie tel que Lestrade qui se fait toujours tourné en bourrique et nous apparait comme un flic souvent sans cervelle qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez.
Comme vous avez pu le lire, je suis ravis de cette lecture qui m'a permis de nouveau d'aimer les histoires de Holmes dont j'avoue je commençais a me lasser. Un bon volume pour de bonnes nouvelles que j'ai pris plaisir a lire. On verra les prochains, je crois qu'il m'en reste deux ou trois

C'est Dimanche, on visite...



Et voici la rentrée et la fin du mois avec le grand retour du rendez vous de c'est Dimanche, on visite..
Comme vous le savez, c'est un rendez vous mensuel ou je vous emmène visité un lieu chargé d'histoire ou d'architecture, un trésor de notre patrimoine.

Ce mois ci, je vous emmène visité le plus beau village nommé par les Français en 2012, a savoir Saint-Cirq Lapopie.

Pour info, je suis venu dans ce village en 2008, la première fois, car mes beaux parents habitent dans le Lot. Certaine photos sont de moi, d'autre sont prise sur internet, pour étoffé la chronique et montré des plans que je n'avais pas.  J'arrête la de raconté ma vie

Allez c'est parti pour la visite. Le bourg médiéval de Saint-Cirq Lapopie, qui compte 13 monuments historiques est l’un des plus beaux villages de France. Accroché sur une falaise à 100 mètres au-dessus du Lot, Saint-Cirq Lapopie constitue l’un des sites majeurs de la vallée du Lot.
Chef-lieu de l’une des trois vicomtés du Quercy, Saint-Cirq Lapopie fut partagé au Moyen Âge entre plusieurs dynasties féodales dont les familles dominantes de Lapopie, de Gourdon et de Cardaillac. De ce fait, plusieurs châteaux et maisons fortes constituaient le fort seigneurial et dominaient le village.
En contrebas du fort, les rues du village, fermées par des portes fortifiées, ont conservé de nombreuses maisons anciennes dont les façades en pierre ou à pans de bois ont été construites entre le XIIIe et XVIe siècles. Étroites, elles sont caractérisées par leurs toits de tuiles plates, à fortes pentes.
Les rues, où s’ouvrent des arcades d’échoppes, conservent le souvenir des activités artisanales qui firent la richesse de Saint-Cirq


 Voici différentes vues du village, prise sur les hauteurs.
Comme je le disais en présentation, ce village a été élu village préféré des français en 2012. La commune est située à 30 km à l'est de Cahors au cœur du parc naturel régional des Causses du Quercy. Ce village surplombe le lot.
 Voici le village vu du haut
Sachez que ce village est médiéval et qu'il se déroule en une cascade de ruelles pavées, de façades gothiques, de portes fortifiées et de roses trémières.. De plus, Autrefois témoin d’une vie batelière florissante, réputée pour ses tourneurs sur bois, Saint-Cirq-Lapopie est un site classé comprenant 13 monuments historiques. Le village a conservé l’intégralité de son patrimoine, mais surtout un charme fou. Echoppes, restaurants et cafés s’abritent du soleil dans l’ombre des portes ogivales.
 Une vue d'une des ruelles.
Dés le début du XXe siècle, ce village attiré des artistes, des galeristes  parisiens et, à partir de 1950, de nombreux artistes du mouvement surréaliste. On perçoit encore nettement cette dimension artistique en découvrant le parcours d’art contemporain, sans oublier la résidence internationale d’artistes installée dans la Maison Daura.
 
Cette photo ci contre, montre l'entrée de saint-cirq par la porte de Rocamadour. ( je vous parlerais du village de Rocamadour dans un prochain, c'est dimanche)
Sur les deux photos du bas, vous avez sur la première, une vue d'une ruelle. Comme vous voyez c'est en pente et pavée parfois. Allez y en basket. Sur la 2e, une vue d'ensemble.

 
Voici une photo prise de la vallée, ci dessous
 
Le poète André Breton ( perso, je ne connais pas ) fut celui qui fit connaître Saint-Cirq-Lapopie. A propos de ce village où il s’installa à demeure, il déclara : « j’ai cessé de me désirer ailleurs ».  Jolie non? Sur les photos du bas, voici le musée Rigault que vous pourrez visité qui est en contre bas de l'église.


 Si vous poussez la porte, vous vous retrouverez dans une maison typique de la bas. Enfin c'est ce qu'on m'a dit car je n'y suis pas aller, fermé ce jour la. J'ai juste vu l'extérieur et j'ai trouvé la photo de l'intérieur sur internet  : Pour info, l'entrée est de 2€ par adulte et 1€ par enfant et gratuit jusqu'à 12 ans
 
Bon on continue dans les infos sur ce superbe village.
Un peu d'histoire: Il est a priori vraisemblable que l'occupation de cet escarpement rocheux est tenté les troupes gallo romaines. La terre de Saint-Cirq appartenait à la famille de Cardaillac. En 1229, Bertrand de Cardaillac rendit hommage à Raymond comte de Toulouse pour cette terre. Un de ses descendants, nommé lui aussi Bertrand, reçut en 1395 le château et la terre de Saint-Cirq. Il fut la source des barons de Cardaillac-Saint-Cirq.
 Voici l'église et autour des maisons qui date du XIVe siècle
Faisons le tour, pour voir ce qu'il y'a voir réellement la bas.
Comme vous l'avez déjà lu, c'est l'un des plus beau village de France et un de ceux qui est le plus visité aussi. On dit que c'est un village-musée presque entièrement classé et bien connu des artistes. André Breton dont je parlais plus haut  acheta et s'installa dans l'ancienne Auberge des mariniers dans les années 1950. J'ai vu sur Wikipédia une liste de ce qu'on peut voir. je vous dresse la liste que je trouve assez fidèle.
  • Vue sur la vallée du Lot, à 80 mètres en contrebas.
  • Au sommet du plateau, ruines de trois châteaux et l'église Saint-Cirq-et-Sainte-Juliette, puissante église du XVe siècle ayant conservé l'abside romane de la chapelle des châteaux, donjon carré et tourelle d'escalier.
  • Ruelles escarpées et étroites, aux maisons médiévales du XIVe siècle en encorbellement et aux toits pointus.
  • Musée Rignault, où se déroulent notamment des expositions temporaires d'art contemporain. Émile-Joseph Rignault (1874-1962), passionné d'art et collectionneur, en a fait don en 1946 au conseil général du Lot.
  • Les Maisons Daura, demeures du peintre Pierre Daura, offertes par sa fille Martha au conseil régional Midi-Pyrénées pour qu'y soient installés une résidence d'artistes et un lieu d'exposition, sont désormais dévolues à l'Art Contemporain. Sous la direction artistique de la MAGP (Maison des Arts Georges Pompidou) à Cajarc, cette résidence d'artiste à la programmation exigeante accueille depuis 2005 une sélection de créateurs du monde entier sur deux périodes (été et hiver) : la résidence d'été donne lieu chaque année à la création d'œuvres inédites in-situ dans le village et des recoins inattendus de la vallée du Lot à l'occasion du Parcours d'Art Contemporain en Vallée du Lot.
  • Chapelle Sainte-Croix :  Tout en haut d'un chemin de croix planté de buis, cette chapelle du XIXe siècle, reconstruite en 1854 à l'emplacement de l'ancienne église, rappelle que les reliques de la Vraie Croix furent rapportées de Terre Sainte par Géraud de Cardaillac.
  • Belvédère du cirque de Vènes : Une petite croix en fer signale l'accès au point de vue sur la plaine de Tour-de-Faure et le cirque de falaises de Vènes.
  • Belvédère du Bancourel : Au pied d'un colombier circulaire du XVIe siècle, l'esplanade du Bancourel offre une vue spectaculaire sur le rocher de Lapopie et l'écluse d'Aulanac.
  • Écluse et moulin d'Aulanac : En contrebas des falaises, au bord de la rivière, ancien moulin du début du XIVe siècle, associé au XIXe siècle à une écluse et sa maison éclusière. Le bâti, pierres et colombages est juxtaposé à l’ancienne et traditionnelle fabrique du village, celle des robinets de bois.
  • Chemin de halage de Ganil : Précédé par le moulin et la maison éclusière, ce chemin de halage entaillé à flanc de falaise constitue l'un des parcours les plus spectaculaires de la vallée. La promenade commence à la Plage-Halte nautique de Saint-Cirq-Lapopie : Plage aménagée, environ 10 km aller-retour. Construit en 1845 par les hommes, le chemin de halage était utilisé par les chevaux afin de permettre aux gabares ou bateaux à fond plat, de remonter les courants chargés de marchandises locales en direction de Bordeaux. Les produits chargés étaient plutôt des vins de Cahors, des prunes séchées mais également les productions des tourneurs sur bois et plus précisément des robinets de tonneaux à vin. En 1926, le Lot est déclassé comme rivière navigable et réaménagé pour la navigation de plaisance depuis 1990. Daniel Monnier entreprend peu de temps avant un nouvel aménagement, la réalisation du bas-relief dans le flanc creusé du chemin de halage. Il y présente à sa manière l'environnement de la rivière, de sa faune, sa flore et ses fossiles. Voila pour le descriptif.
     Photo de gauche, une maison de saint Cirq
  •  Photo du bas a droite, une vue générale du village. A gauche, sur la photo du bas, vous pouvez admiré le lot en contrebas du village. Et tout en bas, voici l'église de Saint Cirq

     
     
    Et voila fin de la visite de ce magnifique village, qui mérite bien son classement de plus beau village de France. Pour finir, si vous voulez y aller, en partant de cahors ( plus simple ), vous mettrez environ 35 min en voiture en passant par la D 911 et D8. En effet, il y'a entre 25 et 33km, suivant par ou vous passez. Bonne visite et au mois prochain;

    mardi 13 septembre 2016

    Les nympheas noirs de Michel Bussi

    RESUME: Tout n'est qu'illusion, surtout quand un jeu de miroirs multiplie les indices et brouille les pistes. Pourtant les meurtres qui troublent la quiétude de Giverny, le village cher à Claude Monet, sont bien réels. Au cœur de l'intrigue, trois femmes : une fillette de onze ans douée pour la peinture, une institutrice redoutablement séduisante et une vieille femme aux yeux de hibou qui voit tout et sait tout. Et puis, bien sûr, une passion dévastatrice. Le tout sur fond de rumeur de toiles perdues ou volées, dont les fameux Nymphéas noirs. Perdues ou volées, telles les illusions quand passé et présent se confondent et que jeunesse et mort défient le temps.

    MON AVIS: 3e bussi que je le lis et décidément j'adore cet auteur!! Il a une facilité a nous embarqué dans son histoire que l'on tourne les pages pour savoir en se disant: "vite la fin que je sache". J'ai lu sur la blogsphère et sur LA que c'était l'un de ses meilleurs. J'avoue que pour ma part, j'ai du mal a me décidé car j'ai adoré n'oublier pas.
    Ce livre se passe a Giverny, village de Normandie cher a Claude Monet, le peintre dont personnellement, j'apprécie beaucoup les œuvres.
    On suit toute une brochette de personnage que j'ai trouvé ( ou presque) très sympathique et fort attachant. C'est une vieille dame qui raconte l'histoire et a travers ses yeux, on découvre ou redécouvre pour ceux qui ont eu la chance d'y aller Giverny. Je vous disais plus haut que l'on suivait pleins de personnages, ce n'est pas tout a fait exacte, on suit trois femme qui a priori, n'ont rien en commun sauf d'habité ce village. J'avais l'impression de voir un puzzle se déroulé sous mes yeux ou chaque pièce a sa place et chaque moment son importance. Chaque détail compte! Si vous sautez une ligne, c'est fichue. Je dois avoué que pour ma part (cela fait peut être prétentieux ) j'avais une hypothèse qui m'est venu vers la moitié du livre et dont je ne sais pas pourquoi, je ne suis pas arrivé a me détacher. Je suis contente de me dire que j'ai eu en partie raison, même si pour tout le reste, je n'ai rien vu venir.
    Bussi est vraiment très fort pour mener son histoire et pour pouvoir  a la fin quand on pense a toute l'histoire et aux détails dont on a pas cru bon croire a l'importance, se dire, mais oui!! On entre par une porte dans un coffre ou une multitude de secrets rongent ce petit coin de paradis.
    Bussi tire les ficelles avec habilité et on adore ça. De plus les descriptions qu'il fait de Giverny, font que l'on a vraiment l'impression d'y être. Pour ma part, j'ai vu sa maison dans un reportage et tout est vrai. Du grand art pour cet auteur qui décidément, fait son chemin dans le policier et qui se débrouille comme un chef
     
    Ce livre a été lu dans le cadre du challenge de la licorne
     

    samedi 10 septembre 2016

    Secrets d'histoire tome 6 de Stephane Bern

    RESUME: Le général carthaginois Hannibal, qui n'hésita pas à traverser la Gaule et les Alpes avec ses mercenaires et ses éléphants afin d'affronter l'ennemi romain sur son propre terrain, fut-il pour autant le plus grand tacticien de l'Histoire ? Lord protecteur d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande, Cromwell fut-il un artisan de la liberté ou un tyran régicide ? Comment Thérésa Cabarrus, femme d'esprit tenant un salon d'artistes, devint-elle successivement « Notre-Dame de Thermidor » puis « reine du Directoire » ? Par quel caprice du hasard Désirée Clary, le premier amour de Napoléon qu'il quitta pour épouser Joséphine, finit-elle reine de Suède et de Norvège ? Qu'Est-ce qu'un héros ou une héroïne ? Voilà le fil conducteur ces nouveaux Secrets d'Histoire. De Rabelais à la Grande Mademoiselle, de Louis XIV à Victor-Emmanuel II de Savoie, de Marie Curie à de Gaulle, autant de destins exceptionnels, racontés avec passion et érudition par Stéphane Bern, infatigable amoureux de l'Histoire et de ceux qui la font.

    MON AVIS: Et voila déjà le tome 6 de secrets d'histoire lu. C'est toujours avec autant de plaisir que j'ai retrouvé la plume de Stéphane Bern pour ce nouveau tome. Que dire, que je n'ai pas dis dans les autres tomes?? on retrouve une belle brochette de personnages plus ou moins connu, mais aussi des lieux diverse et varié. On se promène d'époque en époque! Mme de Sévigné croise la route de Désirée Clary. Rabelais côtoie Marie Curie. De bonne histoires qui nous permet de rafraichir notre mémoire, comme par exemple l'histoire de Charlemagne. Ou connaitre un lieu tel l'abbaye de Fontevrault. Amoureux de l'histoire, ou conteur, mais finalement presque aussi doué qu'un historien. On voyage au fil des pages qui se tournent. Lire ces livres magnifique est un plaisir sans cesse renouveler comme de regarder les émissions. On a en prime le plaisir de voir de belles gravure, des peintures, pour donner un petit plus a notre lecture. Du grand art, dont je ne me lasse pas et qui me permet de compléter mes connaissance historique, de les approfondir ou aussi d'apprendre quelque chose que je ne sais pas.
    Grace a ses livres, l'auteur nous fait revisité l'histoire sous un jour nouveau et nous permet d'enrichir nos connaissance et d'en faire pour certains comme moi une véritable passion

    dimanche 4 septembre 2016

    Le noel d'hercule poirot de Agatha Christie

    RESUME: Pour la première fois depuis vingt ans, le vieux Siméon Lee a décidé de réunir tous ses enfants pour les fêtes de fin d'année.
    Le 24 décembre, on le trouve sauvagement assassiné dans sa chambre. Tout le monde, évidemment, détestait ce vieillard cynique : Alfred et sa femme pour la tyrannie qu'il exerçait sur leur couple, Harry pour les humiliations dont il a abreuvé sa mère, George pour la rente - trop parcimonieuse à son goût - qu'il lui sert, Harry, le fils prodigue, pour le mépris dans lequel il le tient. Et puis il y a ce mystérieux M.
    Farr qui vient d'Afrique du Sud. Et la jeune Pilar, la petite-fille espagnole, n'a-t-elle pas déclaré froidement que, si elle avait un ennemi, elle n'hésiterait pas à lui trancher la gorge ? Vraiment le vieux Siméon n'aurait pas dû faire part devant tout le monde de son intention de modifier son testament, il n'aurait pas dû faire cette scène détestable à ses enfants réunis, il n'aurait peut-être pas dû faire devant Pilar étalage de ses diamants...

    MON AVIS: Quelle idée a eu l'auteure de nous pondre un meurtre en plein milieu des fêtes de Noel ? Quelle idée géniale!! J'adore cette auteure, je l'ai déjà dit. Elle a sa patte pour nous mené par le bout du nez, en donnant un tout petit détail qui nous permet d'échafauder des hypothèses et de tenir un semblant de piste, qui est balayé 5 pages plus loin avec d'autres indices qui ne collent pas avec notre théorie. Ici c'est le meurtre d'un vieil homme cynique, détestable au plus haut point et que je pense tout le monde aurait eu envie de zigouiller.
    De plus elle sait nous planté un décor, sans nous en farcir 20 pages de détails inutile. Elle nous en dit juste ce qu'il faut, pour nous mettre dans le bain et cherché le détail qui fera qu'on sait qui c'est. Souvent je trouve quand même, bon 6 pages avant la fin mais la nada!! je n'ai rien vu venir et ça c'est génial! on est transporté dans cette famille qui est quand même, il faut l'avoué un peu tordu tous autant qu'ils sont. Ce livre est un excellent moment de lecture que j'ai dévoré de bout en bout. On retrouve notre petit détective moustachu, toujours aussi énervant, quoi que moins dans celui ci par rapport aux autres. Le problème avec Agatha Christie, pour peu que ça en soit un, a une écriture très addictif. Une fois rentré dans le livre, impossible de le poser avant la fin. Pour ma part, ce n'est peut être
    pas son meilleur, mais c'est encore un très bon