dimanche 27 novembre 2016

C'est Dimanche, on visite...

Et voici la fin du mois et le rendez vous de c'est Dimanche, on visite.. Comme vous le savez, c'est un rendez vous mensuel ou je vous emmène visité un lieu chargé d'histoire ou d'architecture, un trésor de notre patrimoine.

Ce mois ci, je tiens a vous emmené au porte de Paris, dans la ville de Chantilly pour la visite de son célèbre château. Et de faire la connaissance du duc d'Aumale, fils de Louis Philippe, dernier roi des Français. 

Pour démarré cette visite, comme d'habitude, on va le situé un peu, histoire de savoir ou on va. Le château de Chantilly se situe à Chantilly (Oise, France dans un site remarquable de la vallée de la Nonette, affluent de l'Oise. Il faut savoir que le train part de Paris et y va directement. Il faut savoir que le château qui existe actuellement n'est plus commun avec celui de l'époque. Je tiens a précisé aussi que certaine photos que je présente sont de moi, mais que j'en ai pris d'autre sur Internet, car certaine salles étaient fermé pour cause de restauration ce jour la. Surtout les appartements.
À l'exception du « Petit Château », construit au XVIe siècle par Jean Bullant, le château actuel est une reconstruction du XIXe siècle sur des plans de l'architecte Honoré Daumet pour l'avant-dernier fils du roi Louis-Philippe Ier, Henri d'Orléans, duc d'Aumale (1822-1897, héritier du domaine, qui y installa ses collections de peintures, de dessins et de livres anciens.

 Voici ce qui nous accueille a notre arrivée, superbe non?? par contre si vous voulez y aller, mettez des chaussures bien confortable, car les pavés font vite mal aux pieds et au jambes. Sur les deux photos du bas, différentes vues.

Un peu d'histoire,
Chantilly fut d'abord une ancienne forteresse médiévale cantonnée de sept tours et entourée de douves en eau, construite sur un terrain marécageux de la vallée de la Nonette qui contrôlait la route de Paris à Senlis. Le château appartenait primitivement à Guy de Senlis, « bouteiller » du roi Louis VI à la fin du XIe siècle. La famille ajouta à son patronyme le nom de cette fonction (Bouteiller de Senlis), et conserva le château jusqu'au XIVe siècle.
Pillée en 1358 par les Jacques, la forteresse est vendue en 1386 par Guy de Laval, héritier des Bouteiller, à Pierre d'Orgemont, ancien chancelier de Charles V. Celui-ci commence la reconstruction du château en 1386 qui sera achevée en 1394, après sa mort, par son fils Amaury ; cette famille le posséda pendant trois générations du XIVe au XVe siècle
En 1484, Pierre III d'Orgemont, sans enfant, lègue Chantilly à son neveu Guillaume de Montmorency (†1531). Je m'arrêté la, pour évité de vous ennuyé.

Juste pour savoir que la puissante famille de Montmorency a possédé le château du XVe au XVIIe siècles et y fait d'important travaux de modernisation.
 Image d'archiv
e, du grand et petit château au XVIIe siècle.
Sur cette photo, outre la cour, vous pouvez apercevoir la statue du connétable Anne de Montmorency.
C'est lui qui fait rénové la forteresse en 1528.
allez on entre: Voila, ce qui compose l'entrée qui se trouve a gauche sur la photo. Pour commencé la visite, on va tout droit. Anne de Montmorency fait aussi construire en 1551, au pied de la vieille forteresse la capitainerie ou petit château. Il fait aussi construire en 1538, la terrasse, photo ci dessus. A partir du XVIIe, jusqu'au XIXe siècle, le sort de chantilly est fortement enlacé a la famille de Condé dont le château devient la demeure principale. Photo du bas, le grand escalier, appelé vestibule d'honneur.

Voici sur les deux photos ci dessus et ci dessous la galerie des cerfs.

Vous pouvez admiré cette salle avec toute les peintures que le duc d'Aumale a acheté au cour de sa vie. il est appelé le musée de condé.  Sur la photo juste au dessus vous pouvez admiré le détail de la colonne de marbre que vous voyez en arrière plan sur la photo plus haut.  Sur les deux photos du bas le cabinet des livres qui contient environ 19 000, mais le duc d'Aumale en avait environ 60 000.


allez on passe dans les appartements. Le couloir, ça va y'a de la place. Savez vous que Molière a crée au château les précieuses ridicules et a joué Tartuffe au temps ou le château respirait la splendeur et la fête. Le grand condé y scelle sa réconciliation avec le roi Louis XIV en avril 1671.
Vers la fin de sa vie, le Grand Condé charge Mansart de restaurer l'intérieur du château, puis son fils, Henri Jules de Bourbon-Condé (1643-1709), dit « Condé Le Fol », lui fait moderniser le château et dépense des sommes énormes pour enlever tout caractère médiéval à l'ancien édifice. En 1721 les travaux sont achevés par Jean Aubert. De 1723 à 1726, ce dernier construit également pour Louis IV Henri de Bourbon-Condé (1692-1740), dit « Monsieur Le Duc », les Grandes Écuries. La photo ci après montre la galerie des actions demandé par le grand condé.





Sur les photos de dessus, voici la grande singerie et le salon de musique de la duchesse (photo avec la harpe) .
 
Je passe rapidement sur tout le reste et
 fait un bon en avant pour arrivé directement au duc d'Aumale
En août 1830, à la mort du 9e et dernier prince de Condé, Louis VI Henri de Bourbon-Condé, qui passait pour être le premier propriétaire foncier de France, c'est le jeune Henri d'Orléans duc d'Aumale son petit-neveu et filleul, avant-dernier fils de Louis-Philippe Ier, qui hérite de la quasi-totalité de son énorme patrimoine, en particulier du domaine de Chantilly, du fait que son fils unique le duc d'Enghien a été fusillé dans les fossés de Vincennes sur l'ordre de Bonaparte.
Arasé au niveau du rez-de-chaussée, le Grand Château a presque disparu.

 Voici différente vue du salon violet.
 Sur les photos ci dessous, vous pouvez voir sur la légende des photos ( prise sur internet) que c'est le salon du duc d'Aumale, et qu'il y 'est accroché 42 portraits de roi et de reine.



 Sur la photo du bas
voici la chambre qui si je me souviens bien est celle d'enfant. Le portrait sur le mur est celui de la duchesse d'Aumale.


Le salon d'Orléans expose la porcelaine de Chantilly. Cet ancien cabinet de dessins du duc d'Aumale présente certaines pièces fabriquées dans la manufacture de porcelaines. En fait, il s’agit plus d’une faïence fine, très rare et de ce fait, très recherchée.
Sous la monarchie de Juillet, le duc d'Aumale projette des travaux de reconstruction qu'il ne parvient pas à mener à bien car après la chute de la monarchie de Juillet, il prend le chemin de l'exil et réside de 1848 à 1870 à Twickenham, près de Londres, où il s'y emploie à réunir de très importantes collections de livres précieux (dont 800 reliures "aux armes", 760 manuscrits, 670 incunables, 1 460 imprimés de 1501 à 1550 et 9 150 imprimés du XVIIème au XIXIème siècles), peintures, dessins et objets d'art, conservés aujourd'hui à Chantilly. Il revient en France en 1871, veuf et ayant perdu ses deux fils jeunes. Il fit deux achats massifs de livres : en 1851 pour 133 0000 francs les 3 504 volumes de la bibliothèque paternelle au château de Bizy (Eure), composée notamment de celle du bibliophile italien Melzi (que lui avait léguée son acquéreur Franck Hall Standish), puis en 1852 les "épaves" de celles du palais des Tuileries et du château de Neuilly.
De 1876 à 1882, le duc fait reconstruire le château sur les anciennes fondations, sur les plans de l'architecte Honoré Daumet et y place et enrichit encore ses considérables collections.

Voici une autre photo de la chambre, que vous pouvez admiré sous un autre angle plus haut avec le portrait de la duchesse d'Aumale. Sur la photo du bas, la salle de bain de la duchesse. Comme vous pouvez le lire, elle est ouverte sur la chambre. Voici le secrétaire qui fait partie de la chambre du duc.
deuxième photo du bas au centre le salon de Guise abrite des portraits de famille dont celui du duc d’Aumale âgé de neuf ans, soit un an après qu’il a hérité de Chantilly, et ceux de ses deux fils, Louis d’Orléans et François. Cette salle a été rebaptisée en 1872, après la mort du second fils du duc d’Aumale, François, duc de Guise. Ci contre a gauche cette ancienne antichambre, appelée tout d’abord « Salon des Condé » par le duc d’Aumale en raison du grand nombre de portraits des princes de Condé qui y sont exposés. Elle a été rebaptisée « Salon de Condé », en mémoire de Louis d’Orléans, prince de Condé, fils aîné du duc d’Aumale, mort à 21 ans de maladie lors d’un voyage en Australie.

 
Le 7 mai 1897 Henri d'Orléans, veuf et sans enfants, mourait dans son domaine sicilien du Zucco ; il avait légué cet ensemble unique à l'Institut de France en créant la Fondation des Princes de Condé en 1886, ce qu'il justifie ainsi dans son testament (3 juin 1884) :
« Voulant conserver à la France le domaine de Chantilly dans son intégrité, avec ses bois, [...], ses édifices et ce qu’ils contiennent, trophées, tableaux, livres, archives, objets d’art, tout cet ensemble qui forme comme un monument complet et varié de l’art français dans toutes ses branches et de l’histoire de ma patrie à des époques de gloire, j’ai résolu d’en confier le dépôt à un corps illustre [...] qui, sans se soustraire aux transformations inévitables des sociétés, échappe à l’esprit de faction, comme aux secousses trop brusques, conservant son indépendance au milieu des fluctuations politiques. »
« Cette maison que j'ai bâtie, où j'ai vécu, je veux qu'elle disparaisse avec moi. Non qu'elle soit démolie ni transformée radicalement (...). Aspect extérieur, silhouette, disposition générale, rien ne sera changé, mais ce ne sera plus une maison. Nul n'y habitera, hors le personnel de service dans les logements prévus par moi et aménagés selon mon désir. Ne subsisteront que la chambre de ma femme et la mienne (...). Le château ne sera plus qu'un musée et un lieu de travail. Je veux qu'y aient accès tous ceux qu'attirent des collections, des archives, une bibliothèque dont je ne crois pas qu'elles soient médiocres ».

Voici une autre salle avec les galeries de peintures.




 Le Château de Chantilly comprend une chapelle où il est possible d’admirer ce monument à la mémoire du prince Henri II de Condé. Il fut érigé en plusieurs étapes. On trouve d’abord les six figures et les bas-reliefs de bronze commandés en 1648 par le Grand Condé et installés à l’origine à Paris dans l’église Saint-Paul-Saint-Louis. Puis en 1659, quatorze bas-reliefs furent rajoutés. Sauvé de la fonte en 1791 par Alexandre Lenoir, le monument fut rendu aux Condé en 1816 et installé par le duc d’Aumale dans la chapelle du château en 1885. Photos du haut chapelle du prince Henri II de Condé.
 
Il faut savoir que le château de chantilly possède un musée du cheval
 
 Voici l'extérieur et une partie des intérieurs que vous pouvez admiré en allant visité ce magnifique musée.
Pour finir, deux images du duc d'Aumale. Un portrait de lui jeune homme et un buste signé Paul Dubois, plus âgé.

Voici que s'achève notre visite sur le château de Chantilly que j'espère avez apprécié. Je vous donne quelques renseignements si jamais l'envie vous prenait de visité se château.  
 
Voici les horaires d'ouvertures:

Haute saison

Du 26 mars au 1er novembre inclus
Ouvert 7J/7
10h-18h / 20h pour le parc
 

Basse saison

Du 2 novembre au 25 mars inclus
Tous les jours sauf le mardi
10h30-17h / 18h pour le parc
 
Le Domaine de Chantilly est ouvert les jours fériés.
 
 
Ainsi que les tarifs:

Billet Domaine

Passez une journée à Chantilly et découvrez l'ensemble du domaine avec un seul billet !
Le Billet Domaine donne accès au château, au parc, aux grandes écuries et au musée du cheval.
En bonus :
  • Audioguide gratuit (adulte / enfant) proposé pour la visite du château
  • Démonstrations de dressage (30 min) proposées par les cavalières dans les grandes écuries
Billet valable 1 an à partir de la date d’achat (en dehors des journées de privatisation suivantes : Journées des Plantes et Arts & Élégance.
Plein tarif : 17€ / Tarif réduit : 10€

Billet Parc

D'une superficie de 115 hectares le parc regroupe 3 jardins différents : un jardin à la française dessiné par Le Nôtre, un jardin anglo-chinois et un jardin anglais. Vous apprécierez ses espaces verts à perte de vue, ses fabuleux jardins et ses nombreuses animations pour petits et grands (aire de jeux, labyrinthe, enclos à kangourous...).
Billet valable 1 an à partir de la date d’achat (en dehors des journées de privatisation suivantes : Journées des Plantes et Arts & Élégance.
A l'occasion du Tour de France, tarif unique de 5€ pour le parc le dimanche 24 juillet
Plein tarif : 8€ / Tarif réduit : 5€
En basse saison de novembre à mars le tarif réduit s'applique à tous les visiteurs.

Billet Famille

Billet disponible uniquement dans nos points de vente sur place.
Un tarif unique pour les familles (2 adultes / 2 enfants) qui souhaitent visiter l’ensemble du domaine (château, parc, grandes écuries et musée du cheval).
Tarif (2 adultes / 2 enfants) : 45€

 

Spectacles équestres

 

Billet Spectacle

Donne accès aux grandes écuries, au musée du cheval + spectacle équestre. Gratuit pour les enfants de moins de 3 ans installés sur les genoux de leurs parents.
Plein tarif : 21€ / Tarif réduit : 17,50€

 

Billet Domaine + Spectacle

Donne accès à l'ensemble du domaine (château, parc, grandes écuries, musée du cheval) + spectacle équestre. Gratuit pour les enfants de moins de 3 ans installés sur les genoux de leurs parents.
Plein tarif : 30€ / Tarif réduit : 22€

 

Animations dans le parc


  • Balade en petit train (d'avril à fin octobre) :
Départs à 11h - 12h - 14h - 15h - 16h - 17h
Plein tarif : 5,5€ / Tarif réduit: 3,5€
  • Voiturettes (d'avril à fin octobre) :
9 voiturettes électriques sont disponibles à la location de 11h à 18h
7 véhicules 4 places / 2 véhicules 6 places
Tarif : 32€ / heure

 

Visite Guidée

Visite guidée des appartements privés du duc et de la duchesse d’Aumale.
Réservation à effectuer sur place.
Durée : 45 min
Tarif : 3€/personne (adulte / enfant) en supplément du billet d’entrée 
je ne vous ai pas recopié les abonnements annuels.
 
je vous retrouve le mois prochain pour le prochain rendez vous de c'est Dimanche, on visite. A bientôt

dimanche 20 novembre 2016

Prince Lestat de Anne Rice

Je tiens d'abord a remercié livraadict et les éditions Michel lafon qui m'ont permis de lire ce livre dans le cadre du partenariat


RESUME: Lestat a parcouru le monde de manière bien solitaire ces dernières années, ces compatriotes et amis l’ont cherché sans succès. Depuis quelques temps, une Voix lui parle, à lui et à d’autres vampires leur commanditant de tuer leur propre race. Récemment, Benji, le protégé d’Armand, tient une émission radio, prêchant pour le rassemblement et l’alliance de tous les vampires pour lutter contre un détracteur s’amusant à multiplier les massacres des vampires les plus jeunes. A côté de ça, Fareed et Seth, scientifiques et vampires, ont mis en place un programme de recherche sur la composition des vampires et cherchent à répondre scientifiquement à la question de « Qu’est-ce qui anime les vampires ? », ils multiplient les expériences dans ce but. Tout est lié pourtant et Lestat semble bien être le seul capable de gérer une telle crise, tous pense de la même façon, acceptera-t-il alors cette responsabilité ? et qui peut bien être cette Voix ?

MON AVIS: Dur dur d'écrire une chronique sur ce livre. Car il est très dense a lire et a décrire. J'ai été ravis de retrouvé Lestat, mais j'avoue avoir été un peu perdu avec tous ses personnages que l'on croise au fur et a mesure des pages. Heureusement, il y'a un appendice qui aide bien a suivre.
En effet, si j'ai lu entretien avec un vampire et lestat le vampire ainsi que la reine des Damnés dont j'avoue ne pas me souvenir, je n'ai pas lu les autres tomes de la série et celui ci est le 11eme.
Bref, on retrouve Lestat quand même bien différend du souvenir que j'ai gardé de lui, quoi que. J'avoue que je me rappelle beaucoup plus de Entretien avec un vampire que de Lestat. J'avoue que si je l'ai détesté dans le premier tome, je l'ai plus apprécié dans Lestat et dans celui ci. Je l'ai trouvé plus humain si j'ose dire.
Dans ce livre, on alterne les chapitres ou Lestat est le narrateur et les autres chapitres ou on découvre ou redécouvre tous les personnages qui gravite autour de notre vampire bien connu! Et on s'attache plus a la genèse des vampires avec une mystérieuse voix qui présente dans la tête de tel ou tel vampire et qui arrive a les persuadé de faire tel ou tel action selon son bon plaisir.
Comme je le disais plus haut, j'ai eu un peu de mal a le lire car, dur de s'y remettre après tout ce temps dans l'histoire de ses chroniques. J'ai eu l'impression quand même que l'auteur s'éparpillait un peu, mais je me suis vite rendu compte qu'en faite, elle savait très bien ou elle allait.
Pour etre franche, j'ai aimé et pas aimé en même temps: Aimé car on retrouve l'atmosphère qui ont fait que les chroniques sont ce qu'ils sont, parce qu'on retrouve note cher Lestat, qu'on a pleins de réponses aussi. Et pas aimé parce que j'ai été un perdu, j'ai eu aussi du mal avec tous ses détails mais je pense que c'est parce que j'ai loupé pleins de tomes. Pourtant, la narration de Lestat, nous aide a quand même savoir ce qui c'est passé avant.
Ce livre est une bonne histoire et je regrette d'avoir eu ce petit manque qui ne m'a permis d'apprécié ce livre comme il l'aurait fallu. Je le recommande pourtant chaleureusement, mais lisez les autres tomes avant. Les deux images de dessous sont un petit clin d'œil a Lestat






samedi 12 novembre 2016

Les arcanes du chaos de Maxime Chattam

RESUME: Célibataire parisienne sans histoires, Yael est loin de se douter qu'il existe des secrets qui mettent en danger ceux qui les découvrent. Le jour où des ombres apparaissent dans ses miroirs pour lui parler codes secrets et sectes millénaires, elle se croit folle ou possédée.
Projetée dans un jeu de piste infernal, pourchassée par des tueurs, Yael se retrouve au cœur d'une lutte ancestrale. Des catacombes de Paris aux gorges hantées de Savoie, jusqu'au New York des milliardaires, la vérité ne doit pas survivre.
Qui n'a jamais rêvé de tout savoir sur l'assassinat de JFK ? Sur le 11 septembre ? Et si l'histoire n'était que manipulation ? Quand le diable s'en mêle, la terreur ne fait que commencer...

MON AVIS: Autant être honnête, je me suis aperçu hier que je n'avais pas fait la chronique de ce livre ainsi que de la théorie Gaia. Il était présent sur mon précédent blog, mais comme je l'ai supprimé... Et bien sur pour celui ci, impossible de retrouvé les notes que j'avais prise. Du coup ce sera pour une fois un avis succincte, car si je me rappelle du gros de l'histoire, j'ai oublié les détails qui aurait pu avoir de l'importance, mais bon du moment que je me rappelle du principal et de la fin..
Ici l'auteur développe la théorie du complot, en suivant deux personnages qui n'aurait jamais du se rencontré car très éloigné l'un de l'autre. Comme d'habitude, l'auteur tisse sa toile et nous plonge dans des faits historique ou il met l'accent sur ce qui pourrait passé pour de simple coïncidence.
L'idée est bonne, très bonne même!! Comme tous les Chattam, ou presque, j'ai adoré ce roman, car l'auteur nous fait réfléchir et on ressort de ce bouquin en se posant pleins de questions sur le monde. On se surprend a se retourné tous les trois mètres pour vérifié si on est pas suivis. Magistral!! ça me fait pensé a un film ( rien a voir avec le sujet, mais bon..) ce film s'appelle "le blob", film d'horreur, un truc en gélatine rose qui passait par la canalisation et tuait tout sur son passage. Pendant des semaines après avoir visionné ce film, je faisait coulé de l'eau froide dans ma baignoire avant de m'en servir.
Bon revenons au livre, petite parenthèse pour vous dire que ce livre m'a marqué de le même façon que ce film! La fin est assez spectaculaire et "normal" si je puis dire si on suit le récit. N'empêche, je ne l'ai pas vu venir. Petit bémol, les extrais du blog ( me souviens plus du nom du monsieur) qui s'il apporte peut être une lumière sur le récit m'ont un peu ennuyé. A noté que ce livre est le premier tome d'une trilogie qui s'appelle le cycle de l'homme. Les autres titres sont "prédateurs" et "la théorie Gaia"

jeudi 10 novembre 2016

A coeur ouvert d'Ingrid Chauvin

RESUME: Donner la vie prend un sens tout particulier lorsque cela est espéré depuis longtemps. Aurais-je la force de recommencer, j’ai parfois le sentiment d’avoir accouché il y a quelques semaines seulement, je ressens encore aujourd’hui une empreinte de Jade à l’intérieur de moi, elle ne m’a pas quittée et je me surprends à en ressentir les sensations, la chaleur, je suis remplie d’elle...
Je suis partagée entre le désir fou de revivre l’aventure et l’exclusivité que je garde pour Jade. Il faut du temps, beaucoup de temps pour chasser le traumatisme, la douleur et retrouver le goût de la vie, apprivoiser cet état de fait, redevenir une femme tout simplement. Je ne serai plus jamais la même, c’est évident. Je dois me reconstruire avec cette plaie béante qui jamais ne me quittera.

Les mois passent et les années s’en suivent à la vitesse de l’éclair, j’ai cette pression supplémentaire qui pèse lourd sur mes épaules, l’horloge biologique ne tourne pas indéfiniment, devenir maman sera de plus en plus difficile et j’ai comme l’impression que je dois accélérer la guérison de ma souffrance pour donner une nouvelle chance de maternité...

Je ne m’en sens pas spontanément le courage, j’aimerai avoir 30 ans et laisser le temps au temps, mais cela ne m’est pas permis... Et je sais combien je regretterai de ne pas avoir pris sur moi pour au moins essayer, alors je vais essayer, nous allons essayer...


MON AVIS: Je lis assez rarement des témoignages. Pas parce que c'est un genre que je n'aime pas, mais ça me prend toujours aux tripes et j'ai parfois l'impression d'être indiscrète lorsque je tourne les pages.
Celui, ci ne fait pas exception a la règle et c'est avec beaucoup d'émotion que je fais cette chronique .Vous connaissez surement l'actrice Ingrid Chauvin qui est devenu célèbre dans des téléfilms et des séries. Vous savez sans doute aussi le drame que son mari et elle ont subit en mars 2014: Une chose que tout parents ne devraient jamais connaitre, la perte d'un enfant. C'est avec beaucoup de courage, d'humilité aussi qu'elle nous fait part de sa douleur, du vide que représente la perte de sa fille. Je suis moi aussi maman et si je ne peux pas comprendre sa douleur, rien qu'en regardant ma fille, je peux l'imaginer
Ce livre est un concentré d'émotion car l'actrice se livre a cœur ouvert et nous raconte son parcours ou elle donne la vie a sa petite jade jusqu'au moment ou la vie la lui reprend. On rentre dans ses pensées, dans sa souffrance aussi et tout cela m'a fait beaucoup touché. Je pense qu'il faudrait avoir un cœur de pierre pour ne pas l'être. Ce livre est un témoignage bouleversant mais aussi une formidable leçon de vie.  Je pense que cette histoire est un message, car quoi qu'il nous arrive, il ne faut jamais baissé les bras. Tout peut arrivé, surtout le meilleur.

mardi 8 novembre 2016

La véritable histoire des chateaux de la Loire de Jean des Cars

RESUME: Grands ou petits, publics ou privés, les châteaux de la Loire sont tous les acteurs immobiles mais essentiels de notre passé. Comme si ces monuments, cortège de génie et de rayonnement unique au monde, étaient un somptueux théâtre de l'Histoire de France. Pendant cent ans, c'est sur les bords de la Loire et de ses sept affluents que s'élèvent des merveilles. Une autre " Vallée des Rois " fut ainsi promue écrin d'un miracle français, avec ses douceurs, ses fêtes et ses tragédies. Aux fastes des chasses royales de François 1er à Chambord s'oppose l'assassinat du duc de Guise à Blois. Reines et favorites y ont également laissé leurs empreintes, telles Diane de Poitiers et Catherine de Médicis à Chenonceau. Jean des Cars, dont on connaît le talent de conteur, en a sélectionné dix parmi les plus visités : Angers, Chinon, Amboise, Blois, Azay- le- Rideau, Le Clos- Lucé, Chambord, Chenonceau, Cheverny et Villandry.

MON AVIS: Attention coup de cœur pour ce livre. Déjà j'adore l'auteur a la base. Ce livre nous raconte l'histoire des châteaux de la Loire. De Angers, a Chinon en passant par Amboise, Blois, le Clos Lucé. Ce livre est une véritable pépite a lui tout seul. Si vous aimé l'histoire, les vieilles pierres, je ne peux que vous le conseillé. L'auteur nous conte admirablement l'histoire au fil des siècles de ses châteaux plus ou moins connu.
Il nous raconte aussi l'histoire de ses rois qui ont façonné ses châteaux dont pour certains, sont encore identique de nos jours, a ses personnes anonyme ou pas qui ont fait de ses châteaux ce qu'ils sont devenu aujourd'hui.
J'ai eu la chance de visité quelqu'un de ses châteaux l'été dernier et je dois avoué que pour ma part, la magie est au rendez vous. Vous connaissez mon amour des vieilles pierres, du patrimoine, de l'architecture et de l'histoire, si vous me suivez sur mon rendez vous de c'est dimanche. Ce livre rejoint  parfaitement ce que j'essaye de vous transmettre dans ce rendez vous. Un petit moment agréable, quelques connaissance si vous aimé l'histoire et êtes un inconditionnelle des vieilles pierres.
Ce livre est un véritable guide touristique et on visite tranquillement en ne bougeant pas de chez soi. L'auteur n'a pas son pareil pour nous raconté avec son style bien a lui. Un livre magnifique avec de superbe photos qui donne qu'une envie: allé admiré ses châteaux de nos propre yeux.

dimanche 6 novembre 2016

Arretez moi de Lisa Gardner

RESUME: Que feriez-vous si vous connaissiez le jour et l'heure exacts de votre mort ? Le 21 janvier à 8 heures précises, dans 4 jours, Charlie Grant est certaine d être assassinée. Comme ses deux meilleures amies. Et elle souhaite que ce soit l'inspectrice D.D. Warren de la police de Boston qui se charge de l'enquête.
Prise par la traque d'un tueur de pédophiles, D.D. accepte à contre cœur. Mais au fur et à mesure qu'elle plonge dans le passé de la jeune femme, son instinct lui souffle qu'elle lui cache quelque chose...

MON AVIS: Acheter a France Loisirs, ce livre est une bonne surprise. J'ai bien aimé le livre dans sa globalité. On suit deux personnages bien distinct: d'un coté Charlène qui a perdu ses deux amies a 1 an d'intervalle, le 21 janvier et qui est persuadé être la prochaine sur la liste. De l'autre, D.D. Warren une enquêtrice qui revient d'un congé maternité et qui reprend son travail en étant un peu dans les choux avec un bébé de 10 semaines qui ne fait pas ses nuits.
J'ai bien aimé les passages avec D.D. qui nous ressemble beaucoup et auquel on peut s'identifié dans le rôle de la jeune mère qui revient après un congé de maternité. J'ai trouvé les passages avec Charlène moins passionnant. Je n'ai pas réussis a m'attaché a elle, car j'ai trouvé que dés le début elle avait un truc pas claire. Pourtant, c'est elle la victime, j'aurais du avoir un peu de compassion, mais non! je l'ai trouvé fausse, même dans les passages ou c'est D.D qui en parle.
On suit aussi des meurtres de pédophiles. Ses passages sont extrêmement bien raconté et nous permet de nous faire une idée, sur ses types qui profitent de la toile, pour essayé d'appâter des enfants. Preuve que l'on ai jamais trop prudent!!
La fin est bien construite, je ne m'y attendais pas du tout pour une fois et cela fait du bien de ne pas trouvé la solution a la moitié du bouquin.
L'auteur sait nous faire pédaler dans la semoule, en distillant ses infos au compte goutte, nous mettre un doute qui se révèle complètement faux  10 pages plus loin!!. On suit l'affaire, en même temps que les protagonistes. De fausses pistes, en rebondissement et en suspens, ce livre se lit bien et assez vite et j'en ressors satisfaite, en restant scotché sur la fin. Pour un fois!!