dimanche 30 juillet 2017

C'est Dimanche, on visite..


Et voici la fin du mois et le rendez vous de c'est Dimanche, on visite.. Comme vous le savez, c'est un rendez vous mensuel ou je vous emmène visité un lieu chargé d'histoire ou d'architecture, un trésor de notre patrimoine.

Ce mois ci je vous emmène visité un endroit un peu particulier puisqu'il s'agit du musée carnavalet a  paris dans le quartier du marais.
Sachez que ce musée est fermé jusqu'en 2019 pour travaux. Toute les photos qui accompagnent cette article est issue d'internet, car lorsque j'y suis allé, je n'avais pas mon appareil photo et beaucoup de salle était fermé du faite de leur rénovation.

Comme toujours on commence par un petit tour historique: C'est est le musée municipal parisien consacré à l'histoire de Paris des origines de la ville à nos jours. Situé dans le quartier du Marais au no 23 rue de Sévigné à Paris, dans le 3e arrondissement, il présente des collections exceptionnelles : souvenirs de la Révolution française, peintures, sculptures, mobilier et objets d'art. Le musée est constitué de l'hôtel de Carnavalet et l'hôtel Le Peletier de Saint-Fargeau reliés par une galerie située au premier étage. Il a une superficie de 10 000 mètres carrés et compte une centaine de salles.

 photo en haut, le corps de logis et en bas l'hôtel carnavalet.
l'hôtel Le Peletier de Saint-Fargeau
attention il s'agit de ne pas se perdre: il y'a plus d'une centaine de salles a visiter et des milliers d'objets, de peintures, maquettes a découvrir. de quoi passer le temps!!
Parlons justement des collections: . Le parcours, qui va de l'Antiquité jusqu'à aujourd'hui, comprend des œuvres très variées : vestiges archéologiques, peintures, sculptures, dessins, médailles et monnaies, gravures, photographies anciennes, maquettes de monuments, mobilier, enseignes, portraits, ainsi qu'un ensemble unique de témoignages sur la Révolution Française. La reconstitution d'intérieurs parisiens d'autrefois a également fait beaucoup pour la renommée du musée.
Les notices descriptives et les photographies de ces objets sont mises progressivement à la disposition du public sur le Portail des collections des musées de la Ville de Paris. Le musée possède au total plus de 580 000 œuvres :
  • 2000 sculptures
  • 2600 peintures
  • 300 000 estampes
  • 800 pièces de mobilier
  • 50 000 monnaies et médailles
  • 10 000 pièces archéologiques
  • 10 000 objets d'art et d'histoire
  • 150 000 photographies
  • 200 enseignes anciennes
Construit entre 1548 et 1560, il est attribué à Pierre Lescot, comme la Cour carrée du Louvre. Il a été édifié pour Jacques de Ligneris, président du Parlement de Paris.
Situé alors dans une zone de vergers et de cultures appartenant au couvent Sainte-Catherine-du-Val-des-Ecoliers, l'hôtel était une des rares constructions du quartier au nord de la rue du roi de Sicile. Son plan en forme de quadrilatère « entre cour et jardin » constituait une nouveauté architecturale, et allait être un exemple pour de nombreux autres hôtels. Les statues qui l'ornent sont des chefs-d'œuvre dus à Jean Goujon et à son atelier.
En 1578, il devient la propriété de Françoise de Kernevenoy, veuve d'un gentilhomme breton François, dit Carnavalet.
Dans les années 1650, il passa dans les mains de Claude Boislève, qui confia la tâche de l'agrandir à François Mansart qui ajouta un étage aux trois ailes basses. Les ailes latérales étaient ornées de sculptures de Gérard van Opstal répondant aux quatre reliefs des saisons du XVIe siècle. François Mansart créa probablement une toiture (combles à la Mansart) formant un carré continu autour de la cour.
photo ci dessus, l'entrée du musée qui est en plein cœur du marais.

De 1664 à 1695, il fut habité par la Marquise de Sévigné, puis par Brunet de Rancy, secrétaire du Roi jusqu'en 1777, puis enfin par la famille du Pré de Saint-Maur.
Après la Révolution, il fut occupé par l'École des ponts et chaussées puis par les institutions Liévyns et Verdot, avant son rachat par la ville de Paris en 1866 sur les conseils du baron Haussmann.
Il fut restauré à partir de 1866 par l'architecte Victor Parmentier, qui venait de se faire remarquer au Salon par son travail d'étude du château de Madrid au bois de Boulogne. L'administration d'Haussmann souhaitait y loger les collections historiques de la Ville de Paris, alors conservées à l'hôtel-de-Ville : celles-ci furent presque entièrement détruites dans l'incendie de ce dernier sous la Commune mais le projet fut repris, sur des bases entièrement nouvelles, après 1871 (d'où une vente aux enchères d'une partie des collections du musée en 1881, décidée par le conseil municipal pour les objets ne répondant plus au nouveau musée, voir plus bas). Il lui fut incorporé des éléments architecturaux exceptionnels provenant du vieux Paris en pleine mutation :
  • l'arc de la rue de Nazareth dans l'île de la Cité (milieu du XVIe siècle) ;
  • la façade du bureau des marchands drapiers des Halles anciennement situe au 11 rue des Déchargeurs (XVIIe siècle) ;
  • un avant-corps de l'hôtel de Choiseul (début XVIIIe siècle).
L'accroissement des collections imposa un nouvel agrandissement qui s'acheva en 1914.
 voici une partie du jardin et ci dessous la cour intérieur.
 Parlons de l'intérieur. Pour être honnête, je ne vais pas tout vous montrer, cela prendrait un temps fou. Mais je veux vous donner une idée de ce qu'il y'a voir dedans.
Pour commencé, il n'y a pas de sens définis de visite: vous faites comme bon vous semble!! Attention toute fois, a ne pas vous perdre! Munissez vous d'un plan, c'est plus sur, car vous allez passé de pièce en pièce, d'un hôtel a un autre et pour couronner le tout, il y'a le lycée Victor Hugo entre les deux. De quoi faire.
 
Il y'en a pour tous les gouts, de l'époque gallo- romaine, a la préhistoire, de la révolution française, en passant par le XVIe, XVIIe, XVIIIe, XIXe et XXe siècle.
 cour intérieur, cette magnifique sculpture de Louis XIV
Sachez que dedans, vous pourrez voir des reconstituions d'intérieurs parisien avec le mobilier d'époque. Un rêve pour les yeux

 Deux vue de l'escalier avec une peinture murales du grand escalier - Paris III Ces peinture murales, réalisées en 1748 par les Brunetti, proviennent le l'ancien hôtel de Luynes sis boulevard Saint-Germain.
Au hasard des pièces, voyez ce que vous pouvez admiré:
 Musée Carnavalet
L'histoire de Paris remonte à la Préhistoire. Déjà, des hommes vivaient sur ce qui allait devenir Parisii, une tribu gauloise, qui donnera naissance au nom Paris.
 Passons a la galerie sévigné qui porte le nom de la célèbre marquise bien connu pour ses correspondances qui nous a permit de se faire une idée de la cour du roi Louis XIV. Sur le mur, un portrait de Mme de sévigné.
 
ci dessous  Les meubles exposés dans cette reconstitution de la chambre de Marcel Proust permettent d'imaginer les décors des 3 domiciles qu'il occupa après la mort de sa mère en 1905. Les plaques de liège rappellent celles qui recouvraient les murs de la chambre du 102, boulevard Haussmann, et l'on retrouve le lit à barreaux de son enfance, le paravent chinois, la bibliothèque et le portrait de son père.
photo ci dessous
 L'escalier d'honneur du XVIIe siècle : sa rampe en fonte, l'une des premières réalisées dans ce matériau, fut forgée d'après un dessin de Bullet. Elle adopte la forme d'une succession de balusteres, surmontés d'une frise de coquilles.
 ci contre Ce candélabre est en bronze ciselé, patiné et doré. Le miroir est également d'une raffinerie remarquable.
 
 une autre pièce qui va vous en mettre plein la vue. la salle de bal wendel. Qui nous fait un remake de Sissi impératrice?
 ci dessous, une salle qui montre bien le paris du XIXe siècle
ci dessous voici le mobilier du duc et de la duchesse de Gaète. Le duc fut le ministre de Napoléon Bonaparte .
sur ses deux photos : la première, un salon bleue Louis XV. Les boiseries  provenant de l'hôtel Brulart de Gentis, ont été remontées en 1923 au musée. photo du bas le salon jaune Louis XV Les boiseries proviennent du salon de musique de l'hôtel Stuart d'Aubigny et furent restaurées dans le style Louis XV. Les meubles sont du XVIIIe, à l'exception de la harpe du luthier Naderman des années 1780.

bon dans le temps ou vous pouvez admiré le paris du XVIe. Rien a voir avec le XIXe
 
 


au hasard de vos pas, vous pouvez tombé sur ça; photo ci contre. Sur la photo ci dessous Près de l'orangerie, vous pourrez accéder aux salles XIXe qui permettent de constater la richesse culturelle et artistique de Paris à cette époque. Vous trouverez de nombreux paysages de la capitale, des portraits de personnages célèbres et de nombreux objets d'époque.
 mais au musee, il n'y'a pas que des pièces a visiter. .Voici quelques photos de meubles peintures  etc..
 de haut en bas commode en laque rouge Epoque Louis XV, Legs Bouvier 1965. Bronze ciselé et doré, dessus de marbre en brèche Médicis; Cette fontaine présente une femme qui semble se laver dans cette fontaine ornée de petits dragons à ses pieds. (art déco) ; fragment de peinture murale:
 Ce style de peinture était très utilisé dans les provinces romaines à la fin du 1er siècle après J.C.

 
 L'Hôtel de Ville et la place de Grève a été peint en 1753 par Nicolas-Jean-Baptiste Raguenet (1715-1793).

 Hubert Robert (1733-1808) a peint La Bastille dans les premiers jours de sa démolition en 1789. la destruction de cette prison parisienne commença dès le lendemain de la prise de la bastille (bien qu'il n'y ait quasiment plus aucun prisonniers). De nombreux souvenirs furent fabriqués à partir des matériaux de la Bastille dont une reproduction miniature visible dans le musée. ci dessous la boutique Fouquet ( pas Nicolas hein !) Georges Fouquet, célèbre bijoutier parisien, fit don de son magasin en 1941, mais il sera seulement reconstitué en 1989 au musée Carnavalet. Cette création Art déco qui date de 1901 était un ovni à l'époque dans l'architecture et la décoration parisienne, mais passa vite de mode. On doit la réalisation de cette boutique luxueuse à Alphonse Mucha (1860-1939).
 
sachez aussi que les collections du musée sont en lien étroit avec le monde littéraire avec de nombreux portraits de Lamartine, Alphonse Daudet entre autre
 
Pour finir deux autres vues du jardin 

et voila, c'est ici que s'arrête notre visite. N'hésitez pas a visiter ce musée magnifique. Mais attendez fin 2019 pour la réouverture. Toute les photos sont du site internaute.com.
Je vous dis au mois de septembre pour une nouvelle chronique de c'est dimanche on visite. Pas de c'est dimanche au mois d'aout pour cause de vacance! je ramènerais pleins de photos de ce que j'ai visité pour faire de nouveaux numéro de c'est dimanche on visite.. a bientôt

dimanche 23 juillet 2017

L'assassin royal, tome 2: l'assassin du roi de robin hobb

RESUME: Au château de Castelcerf le roi Subtil Loinvoyant règne sur les Six Duchés ; il est aidé dans sa lourde tâche par son fils Chevalerie qui comme son père et tous les nobles du royaume porte le nom de la qualité que ses parents espéraient le voir développer. Ainsi le frère du Roi-servant s'appelle t'il Vérité et leur demi-frère, né d'un second lit, Royal.

Suite à une aventure restée inconnue de tous, Chevalerie donne à la lignée un nouveau descendant : un bâtard, dont la simple existence va bouleverser le fragile équilibre qu'avait établi le roi pour contrôler ses turbulents fils. Ce héros malgré lui, nommé Fitz, voit son avenir s'assombrir au fil du temps. Alors que les autres enfants ont déjà leur place à la cour et dans ses intrigues, lui devra la mériter et servir la couronne en devenant ce que personne ne voulait être : l'Assassin royal. Au service de son roi il apprendra les poisons, le meurtre et la trahison..

MON AVIS: Après avoir lu le premier tome il y'a un bout de temps, j'avoue avoir eu peur de lire celui ci. Je craignais de ne pas me souvenir de tout, de me perdre un peu en faite. Mais ouf! tout c'est bien passer et j'ai été ravie de retrouver Fitz, verité, molly et tous les autres personnages qui jalonnent cette saga.
Quelle épopée vraiment. J'avais oublié que le tome 1 se passait sur plusieurs années alors que celui ci se déroule sur peu de temps en faite. J'adore toujours le personnage de Fitz que je trouve très courageux, très humain aussi. J'apprécie aussi beaucoup vérité et Burrich.
Il y'a aussi les autres personnages que l'on voit plus dans ce tome et on peut remarqué que les femmes ont leur place dans cet univers que l'on pourrait penser masculin.
Je dois avoué pourtant que si je l'avais bien commencé, j'ai eu un peu de mal vers le milieu de ma lecture ou je n'arrivais pas a avancé. Je me voyais déjà arriver au bout (ou pas) et me dire que je n'avais pas aimer ce tome. Puis j'ai compris: je lisais en parallèle un autre livre. Chose a ne pas faire quand on lit l'assassin royal. J'ai quand même trouver la relation de Fitz avec son loup lassante et ennuyeuse a la longue. J'avais presque envie de sauter ses passages. Mais bon cela ne m'a pas empêcher  d'adorer ce tome et d'en redemander. Car j'aimerais bien savoir ce que l'auteur va nous concocter comme suite. Cette saga est en faite très addictif et une fois lancé on a du mal a s'arrêter, car l'auteur sait comment nous rendre dépendant et de vouloir tourner les pages avec avidité pour savoir la suite. Lorsque je lis cette saga, j'ai un peu l'impression de regardé une série ou il faut attendre le prochain episode pour savoir la suite. En même temps, je n'ai qu'a acheter les tomes, vu qu'ils sont tous sorti. Mais j'aurais peur de me lasser si je les enchaine trop vite.  Je pense acheter le tome 3 seul et après prendre des intégrales. Comme ça de bon moment de lecture en perspective. Vite la fnac

dimanche 16 juillet 2017

Mes étageres

Ce matin j ai rangé et classé tous mes livres et DVD sur mes étagères. Bon ce ne sont pas des vrais mais des caisses a vin que le mari a trouver. Voilà le résultat. C'est classé part  auteur  il y a trois autres caisses en haut et des étagères au dessus de mon lit et de mon bureau. Mais la plupart des livres sont la J'ai même fais un tri et enlevé 6 livres. Un exploit

dimanche 9 juillet 2017

Mr Mercedes de Stephen King

RESUME: Midwest 2009. Un salon de l'emploi. Dans l'aube glacée, des centaine de chômeurs en quête d'un job font la queue. Soudain, une Mercedes rugissante fonce sur la foule, laissant dans son sillage huit morts et quinze blessés. Le chauffard, lui, s'est évanoui dans la brume avec sa voiture, sans laisser de traces. Un an plus tard. Bill Hodges, un flic à la retraite, reste obsédé par le massacre. Une lettre du tueur à la Mercedes va le sortir de la dépression et de l'ennui qui le guettent, le précipitant dans un redoutable jeu du chat et de la souris.
MON AVIS: Pour ne pas faire comme tout le monde, j'avais commencé par le tome 2 de cette saga, a savoir carnets noirs que j'avais beaucoup aimé.
Comme je l'ai déjà dis dans la critique du livre précédent, je n'avais jamais réussis a lire un livre de lui. Je suis ravie d'avoir pu lire celui ci car je l'attendais depuis un bon moment. Cet opus est le premier d'une trilogie (ou pas) qui met en scène l'inspecteur Hodges. Cette histoire montre la rencontre entre cet inspecteur et le tueur a la Mercédès qu'on voit de temps en temps dans carnets noir.
Pour ma part, même si j'ai lu le 2e avant, je ne me suis pas senti spoiler pour autant, car dés le début on sait qui est le tueur, puisqu'il y'a pleins de chapitre qui lui sont consacré. J'avoue que c'était un peu mon angoisse, de savoir qui était le tueur et du coup ne pas avoir de suspens!! Ouf! de ce coté la, je suis sauvé.
J'ai adoré ce livre de bout en bout. Les ingrédients sont mis pour passé un bon moment de lecture. Tout y est distillé, bien placé! Certains passage sont super angoissant et tout est mené tambour battant. Le pavé de 600 pages ne se voit pas passé et on reste accroché a son fauteuil. Il faudrait presque avoir une ceinture de sécurité tellement on se sent balloté et pris en pleine vitesse. Les personnages ne sont pas en reste et le trio composé de l'inspecteur Hodges, de Holly de Jérôme d'un coté et du tueur fou de l'autre, font pensé a un matche ou on se demande qui va gagné le round. Ce personnage est d'ailleurs complètement dingue de mon point de vue mais aussi diablement intelligent. On retient souvent son souffle a quelque moment clef, tout y est parfaitement orchestré et l'action n'est pas en reste.
 L'auteur nous prouve une fois de plus son talent et montre que s'il est un des auteurs les plus lu et des plus apprécié ce n'est sans doute pas pour rien.

mercredi 5 juillet 2017

Rose morte, tome 2: Trois épines de Celine Landressie

RESUME: France, fin du XVIIIe siècle.

Alors que la révolte gronde aux quatre coins de la France, Rose est rappelée de la cour de Russie. De retour aux côtés de son mentor, elle découvre que la situation vacille également dans l’univers occulte d’Artus.

Les Arimath doivent faire face à de sauvages attaques sur leurs terres, tandis que la grogne contre la noblesse croît d’instant en instant parmi le peuple. Entre la révolution naissante et les prémices d’une guerre au sein du monde obscur, les bouleversements dans l’existence de Rose s’annoncent cataclysmiques. Leurs conséquences risquent fort de faire sombrer en un même chaos les existences des humains aussi bien que des immortels...

MON AVIS: Quel plaisir de retrouver tous les personnages que j'avais adoré dans le premier tome: Rose, mais aussi Adelphe et le trop mystérieux Artus! Un nouveau personnage fait son apparition dans ce tome: Vassili qui a su me charmé, car il est très attaché et dévoué a Rose.

Dans ce tome, on fait un bon en avant de 200 ans, ce qui m'a laissé un peu scotché, pourtant, je l'avais lu sur la couverture mais n'avais pas anticipé ce que ça en résulterait.  Rose c'est bien sur adapté a sa condition et j'avoue que je ne m'y était pas préparé, et cela m'a fait tout drôle de l'avoir plus mur en faite. Son changement m'a beaucoup plu, même si je l'ai trouvé très torturé dans ce tome! Comme tous les personnages en faite. Artus reste lui même, c'est a dire renfermé, ne donnant jamais d'explication et ce tome regorge de rancœur et de non dit. Adelphe est aussi un peu plus renfermé que dans le tome précédent et cela m'a déconcerté.
Parlons de l'intrigue qui est pour ma part plus complexe que dans le premier tome. Cela avance assez lentement, mais cela ne m'a pas gêner car l'auteure prend le temps de placer ses fils ce qui nous permet, nous lecteur de prendre le temps de savourer et d'entrer dans l'histoire tranquillement.

L'auteure a dut faire un bon travail de recherche car le contexte historique est très bien rendu! Ce n'est pas juste pour installer une période a l'histoire. C'est soigné, détaillé mais sans être indigeste pour autant. On a des réponses a nos interrogations au fur et a mesure que l'on tourne les pages. On en apprend plus sur Artus et sur Adelphe. Je les ai adoré, même si Artus, je lui aurais bien mis un coup de pied aux fesses avec ses mystères. Comme s'il pouvait pas dire ce qu'il pense!!   Bref! ce fut encore une agréable lecture et je suis ravie d'avoir eu connaissance de cette saga. Depuis que j'ai acheté le tome 2 et 3, un 4 est sortie, ça va me donner plus de temps pour savourer cette saga, car c'est avec tristesse que j'ai refermé ce volume et quitté ses personnages. Mais je vais vite les retrouver pour mon plus grand plaisir.