lundi 29 mai 2017

Harry potter, tome 3: le prisonnier d'Azkaban de J.K. Rowling

RESUME: Sirius Black, le dangereux criminel, qui s'est échappé de la forteresse d'Azkaban, recherche Harry Potter. C'est donc sous bonne garde que l'apprenti sorcier fait sa troisième rentrée. Au programme : des cours de divination, la fabrication d'une potion de ratatinage, le dressage des hippogriffes... Mais Harry est-il vraiment à l'abri du danger qui le menace ? Le troisième tome des aventures de Harry Potter vous emportera dans un tourbillon de surprises et d'émotions. Frissons et humour garantis!

MON AVIS: C'est toujours un grand plaisir d'ouvrir un livre d'Harry Potter et de plongé dans ce monde magique et surnaturel. A chaque fois, je me demande pourquoi j'ai attendu si longtemps pour le découvrir.
Harry, Ron et Hermione entame la 3e année a Poudlard et comme les deux premiers, on commence les premiers chapitres chez les Dursley. J'ai adoré ce 3e tome qui est pour beaucoup leur préféré! je donnerais mon avis quand je les aurais tous lu. Je trouve que ce tome est un peu moins enfantin que les autres. Comme dans les deux tomes précédent, on rencontre de nouveaux personnage, dont le professeur Lupin que j'ai beaucoup aimé. Il a une humilité certaine et pleins de compassion pour les autres.
On rencontre enfin le fameux prisonnier d'Azkaban, Sirius Black dont on ne fait que parler pendant la majeur partie du livre mais qui est comme une épée de Damoclès au dessus de la tête de Harry.
J'ai trouvé que ce livre avait plus d'ampleur que les autres, car déjà, des secrets sur les parents d'Harry sont dévoilé, les personnages prennent beaucoup d'épaisseur. Et aussi on en apprend plus sur le passé des protagonistes quelle qu'il soit. j'ai sursauté a de nombreuse reprise et j'ai retenu mon souffle a d'autre. Ce tome est pour moi une frontière entre les deux premiers tomes et les suivant. Je veux dire par la que l'auteur nous a mis l' eau a la bouche avec le tome 1 et 2 avant que les choses sérieuse commence avec le tome 4.
Comme je le disais plus haut, j'ai beaucoup aimé le professeur Lupin mais il n'est pas le seul que j'ai apprécié: il y'a aussi Sirius que si on a peur de lui pendant pratiquement tout le livre, on peut que l'aimer et le trouver touchant a la fin. Je n'en dis pas plus pour ne pas spoiler au cas ou certains ne l'aurait pas lu ou vu en film.
Un tome excellent pour ma part, avec l'évolution des personnages comme pour Harry et ses amis qui commencent a entré dans l'adolescence. Hermione est celle qui m'a le plus surprise dans son évolution car elle fait des choses dont je ne l'aurais pas cru capable! Que dire de plus? Un tome riche en émotion, et en action. Un tome a lire et a relire, en attendant le tome 4.

dimanche 28 mai 2017

C'est Dimanche on visite...






Et voici la fin du mois et le rendez vous de c'est Dimanche, on visite.. Comme vous le savez, c'est un rendez vous mensuel ou je vous emmène visité un lieu chargé d'histoire ou d'architecture, un trésor de notre patrimoine.

Ce mois ci je vous emmène voir une église de Paris qui si elle n'est pas la plus connue reste quand même a découvrir.
Bon tout d'abord, il faut la situé: elle se trouve dans le 5e arrondissement de Paris! Bon mais ou exactement? Sur la montagne Sainte-Geneviève a proximité du mythique lycée Henri IV et du Panthéon.
Remplaçant un édifice du XIIIe siècle, elle est construite à partir de la fin du XVe siècle, et sert de paroisse aux habitants du quartier situé autour de l'abbaye Sainte-Geneviève. Le chantier, commencé par le chevet et le clocher en 1491, est achevé par la façade en 1624.
Après avoir été brièvement transformée en temple de la Piété filiale sous la Révolution française, elle est rendue à ses fonctions d'église paroissiale en 1801 et n'a pas changé d'affectation depuis.
La châsse de sainte Geneviève, vide de ses reliques depuis la Révolution française, y est conservée. L'église abrite également un orgue dont les origines et le buffet remontent aux années 1630. Elle est la dernière église parisienne où l'on peut encore voir un jubé.
Elle fait l'objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1862. Voila pour la partie historique.
 vue de l'église.
 Sur la photo du haut, une vue de l'époque avec l'église saint- Etienne du mont et l'église Sainte-Geneviève. En bas, une photo prise plus près.
Construite au XVIe siècle, l’église Saint-Étienne se caractérise par une architecture particulière, entre les derniers feux du Gothique, sous sa forme dernière, le flamboyant, et la Renaissance influencée par l’Antiquité. Sa structure générale est celle d’une église basilicale longue de 69 m et large de 25,5 m : le transept n’est pas saillant à l’extérieur, les bas-côtés sont très hauts. L'église possède également la particularité d'avoir l'axe du chœur incliné par rapport à celui de la nef et de ce fait de ne pas avoir de symétrie axiale.
 
  Sur les photos présenté ci dessous, vous pouvez admiré a gauche le clocher et le lanternon. sur la 2e photo, voici la façade avec la rosace. Sur la photo d'après vous pouvez voir les sculptures qui orne la porte d'entrée qui est la martyr de saint Etienne. La première statue, je n'ai pas l'information désolée et la 2e statue est sainte Geneviève.



maintenant poussons la porte et entrons
L'église Saint-Etienne-du-Mont est remarquable à plusieurs titres : elle possède un jubé de pierre finement sculpté (un des derniers existant à Paris), datant des environs de 1530 et mêlant avec une parfaite élégance les vocabulaires gothique tardif et renaissance, une chaire dessinée par Laurent de La Hyre et sculptée par Claude Lestocart, ainsi qu'un buffet d'orgues (1631) (le plus ancien de la capitale). L'église renferme également la châsse qui contenait les reliques de sainte Geneviève jusqu'en 1793 (date à laquelle elles ont été jetées aux égouts, ne subsiste qu'un morceau d'os), le tombeau de Blaise de Vigenère, de Blaise Pascal, de Racine, et de Mgr Sibour.
 Sur la photo ci dessus vous pouvez voir le jubé. a gauche vue de la structure, en dessous la Coupole de la chapelle de la Vierge. Puis viens la Coursive et croisées d'ogives vues de derrière le chœur. Pour finir une autre vue de face des structures.



Les jubés ont disparu de la plupart des églises gothiques, et leur usage s’est perdu dans les églises modernes. Ils servaient à certains rites, mais suspendus entre le chœur et la nef, ils isolaient davantage les prêtres des fidèles, ce qui explique probablement leur destruction. Plusieurs villes de France possèdent encore des jubés mais l'un des plus curieux et remarquables est celui de l'église Saint-Étienne-du-Mont, le seul qui subsiste à Paris. 
Ce jubé conjugue une structure gothique avec une ornementation Renaissance. La balustrade, véritable entrelacs de dentelle de pierre, est sculptée dans du calcaire de Saint-Leu et ses deux escaliers s’enroulent autour des piliers tout en desservant, à la fois, le jubé et la coursive. Curieusement on ignore l’auteur de ce chef-d’œuvre alors que la plupart des noms des artisans ayant participé à la construction de l’église nous sont connus. En revanche pour les sculptures du jubé, dont les deux figures de jeunes hommes aux regards extatiques surmontant les portes menant au chœur, l'auteur est bien identifié : il s'agit de Pierre Biard l'Aîné
je vous met ses deux photos qui montrent les détails de l'escalier du jubé.
 
Passons ensuite aux vitraux. Même si l'église conserve une belle série de vitraux, il ne reste finalement que des débris de ceux dont elles étaient autrefois. Je vous en met un ou deux histoire que vous voyez quand même.
 Vitraux de la chapelle Sainte-Geneviève illustrant les principaux épisodes de la vie de la sainte (Riquier et Steinheil, 1868-1877).
 sachez toute fois que l'église conserve  dans la chapelle de la Communion (ou des Catéchismes), une très belle collection de vitraux peints à l'émail de la fin du XVIe siècle ou du début du XVIIe. Mutilés et dispersés à la Révolution, ils furent à nouveau réunis en 1834 ; malheureusement, il n'en reste plus que 12 sur les 22 initiaux.

Je vous conseille aussi si vous passez par la de prendre un peu de temps pour portez votre attention sur quelques œuvres qui valent le coup d'œil. Tout d'abord une série de sculptures et la chasse de sainte Geneviève .Parmi toutes les œuvres d'art, on peut mettre en évidence la Mise au tombeau, groupe sculpté en terre cuite composé de huit personnages qui date de la fin du XVIe siècle. L'auteur de cette œuvre n'est pas identifié, mais ce groupe, initialement placé dans l'ancienne église de Saint-Benoit proviendrait de l'École française. Il est classé monument historique au titre objet depuis 1905. ( 2e photo). la première étant l'hôtel de la vierge.


parlons maintenant de la chasse de Sainte Geneviève. déjà qui c'était? Geneviève (née à Nanterre vers 420, morte à Paris vers 500) est une sainte française, patronne de la ville de Paris, du diocèse de Nanterre et des gendarmes.
Selon la tradition, le tombeau de sainte Geneviève est placé auprès de celui de Clovis dans la crypte de l’église Saint-Pierre-Saint-Paul (future abbaye Sainte-Geneviève de Paris), construite par le roi des Francs. Vers 630, saint Éloi orne le sarcophage de pierre de la sainte de plaques d'or, finement ciselées, et de pierres précieuses.
La châsse est évacuée vers Draveil lors de la première invasion des Normands en 845. Elle y reste jusqu’en 853. La première procession connue a lieu en 886 lors du siège de Paris. En janvier 1162, court la rumeur que des réformateurs de l'abbaye ont dérobé le chef de sainte Geneviève en le séparant du reste de ses reliques. Louis VII fait apposer sur la châsse le sceau royal et ordonne une enquête solennelle. Le résultat de cette enquête rassure tout le monde et le chapitre décide que désormais le 10 janvier serait une fête célébrée avec autant de solennité que le 3, sous la dénomination d'Invention du chef de Sainte Geneviève. En 1230, ce coffre est endommagé à un tel point que l'abbé Robert de la Ferté-Milon confie l'exécution d'une nouvelle châsse en vermeil par l'orfèvre parisien Bonnard, de 1240 à 1242. Elle est reconstruite en 1614, sous la régence de Marie de Médicis.
Le , la châsse de la sainte est transportée à la Monnaie où l'on fond les métaux précieux, tandis qu'on récupère les pierreries. Le 21 novembre, le Conseil général de Paris fait brûler les ossements de la sainte sur la place de Grève et fait jeter les cendres à la Seine.
La nouvelle châsse en cuivre entaillé et doré, honorée aujourd'hui dans l’église Saint-Étienne-du-Mont près du Panthéon, contiendrait quelques reliques (un avant-bras et quelques phalanges) qui avaient été envoyées dans d’autres sanctuaires avant la Révolution et qui ont ainsi pu être préservées des destructions. Bien que la châsse n'ait pas été portée processionnellement à l'extérieur depuis le XVIIIe siècle, la Confrérie des Porteurs de la châsse existe toujours, son rôle se bornant à la porter dans l'église même, au moment de la neuvaine. Le culte de la sainte, très populaire, explique qu'elle possède dans l'église plusieurs châsses, dont la plus grande qui contiendrait la pierre tombale de la sainte redécouverte en 1803 lors de la démolition de l'église Sainte-Geneviève. (source Wikipédia)

enfin la dernière chose ou je voulais attiré votre attention c'est la chaire qui est magnifiquement sculpté
 vous pouvez le voir sur ses trois photos, ci contre et ci après. première photo, la chaire de 1651, puis la photo suivante est une vertu dans le détails et pour finir La base de la chaire

 
Dans une église je ne peux pas ne pas vous parler de l'orgue bien sur!
Le buffet, construit par Jean Buron en 1630, est considéré comme un véritable chef-d'œuvre de menuiserie. L'orgue en lui-même est de Pierre Le Pescheur et date de 1636. L'orgue est gravement détérioré en 1760 au cours d'un violent incendie. Il est reconstruit par Cliquot en 1777, puis Aristide Cavaillé-Coll l'enrichit en 1863 et 1873. Théodore Puget apporte des améliorations en 1911. La maison Beuchet-Debierre effectue une transformation radicale en 1956 à l'instigation de Maurice Duruflé. Danion-Gonzalez réharmonise le tout et change la console en 1975 ; Bernard Dargassies effectue un relevage en 1991 et un autre en été 2011.


 cette photo montre le détail du buffet
 
L’orgue de chœur de l'église Saint-Étienne-du-Mont de Paris est un instrument de 14 jeux, dont 12 réels, répartis sur deux claviers de 56 notes et un pédalier de 30. Construit par Puget en 1902, il est placé du côté nord du chœur, derrière des stalles. La transmission est pneumatique.
L'instrument est abrité par un buffet de style néogothique de deux étages portés par un haut soubassement. Horizontalement, le buffet est organisé de façon tripartite, présentant donc six plates faces de tuyaux (7/17/7 au premier étage et 5/9/5 au second).

Pour finir une chose qui a son importance si vous passez part la et si vous aimez la littérature,  plusieurs personnages connu de la littérature ont leur nom accolé a Saint Etienne du Mont

  • Charles Perrault (1628-1703), écrivain français, auteur notamment des Contes de ma mère l'Oye, a été baptisé dans l'église le
  • Le diplomate et cryptographe Blaise de Vigenère est enterré dans l'église.
  • Blaise Pascal est aussi enterré dans l'église à proximité de la Chapelle de la Vierge.
  • Le dramaturge Jean Racine repose également dans cette église après le transfert de ses restes depuis l'abbaye de Port-Royal.

  •  Plaque rappelant l'inhumation de Blaise Pascal en l'église Saint-Étienne-du-Mont.
     Plaque indiquant le transfert des restes de Jean Racine, le 2 décembre 1711


     en haut l'épitaphe de Blaise Pascal et ci contre son buste
     
    C'est ainsi que s'achève notre visite dans cette église. Si vous passez a proximité du panthéon et du lycée Henry IV, arrêtez vous y, elle vaut vraiment le coup d'œil
    Je vous dis au mois prochain

    dimanche 21 mai 2017

    l'héritage occulte de Steve Berry

    RESUME: 1863. L'issue de la Guerre de Sécession est incertaine. Afin de s'assurer du soutien des mormons face aux confédérés, le président Abraham Lincoln confie à leur leader, Brigham Young, un mystérieux secret d'État. 2013. Ex agent du département d'État reconverti dans la vente de livres anciens à Copenhague, Cotton Malone accepte d'effectuer une mission ponctuelle pour les services secrets : récupérer à la frontière de la Suède et du Danemark un témoin de première importance. Celui-ci a des révélations à faire concernant Joseph Salazar, un puissant homme d'affaires mormon qui dispose d'étranges informations susceptibles de déstabiliser les États-Unis. Une passionnante partie d'échecs se met alors en place entre la présidence, le Département d'État et les mormons. De la révélation contenue dans le journal intime d'un dignitaire mormon du début du siècle dernier à la légendaire prophétie du Cheval Blanc en passant par l'étrange découverte faite dans une grotte du parc de Zion, Cotton Malone va devoir élucider, au péril de sa vie, bon nombres d'énigmes historiques pour enfin faire la lumière sur cette ténébreuse affaire. Quel est ce fameux secret qui, depuis George Washington, passe d'un président à l'autre des États-Unis ? Quel a été le véritable enjeu caché de la guerre de Sécession ? Pourquoi Lincoln a-t-il, au mépris de ses convictions intimes, proclamé en 1863 l'émancipation des esclaves dans les États de l'Union

    MON AVIS:  Un auteur que j'apprécie et que j'ai découvert il y'a environ deux ans. Celui ci est le 3e livre que je lis de cet auteur. J'avoue que pour ce coup ci, je n'ai pas été emballé plus que ça par l'histoire. Pourtant, cela démarre plutôt pas mal! Une course poursuite avec le personnage récurent Cotton Malone et puis...
    Ce livre parle de la guerre de sécession et des mormons. Déjà moi et la guerre ça fait deux. Pourquoi avoir pris ce livre me direz vous? Tout simplement parce que j'adore cet auteur comme je l'ai déjà dis et que je ne pense pas que se soit la raison de ma lecture en demi teinte. Je trouve pour ma part, qu'il a manqué quelque chose dans ce livre par rapport aux deux autres. Quoi? bonne question! Un petit truc qui m'aurait fait dévoré ce livre. Il n'est pas mal, mais comparé aux autres, ce n'est pas son meilleur. Après il y'avait des moments très bon dans cette lecture mais les chapitres consacré a d'autre personnages, ne m'ont pas plus du tout. En plus je n'ai pas aimé le personnage de Cassiopée. D'habitude dans ses livres, l'auteur nous laisse a bout de souffle, on tourne les pages avec avidité mais la, j'ai trouvé l'ensemble plat. Pas de suspens, pas de fait historique intéressant, pour  moi du moins. Dommage, car je pense qu'il peut quand même plaire a pleins de monde pour ceux qui aiment l'histoire de l'Amérique. De mon point de vue, cela ne m'a pas emballé plus que ça mais je vous invite a le découvrir quand même au cas ou vous n'auriez pas le même avis que moi!

    lundi 8 mai 2017

    Les reines de sang: frédégonde la sanguinaire tome 1 et 2 de Virginie Greiner

    RESUME TOME 1: 560. Frédégonde, belle ambitieuse issue de la paysannerie, est devenue la suivante de la reine Audevère, épouse de Chilpéric. Cette situation ne lui suffit pas. Elle séduit le roi et obtient de lui la promesse secrète d'un mariage. Alors qu'elle intrigue pour se débarrasser de la reine en titre, ses ambitions vont être contrariées par le désir de Chilpéric de conclure une alliance avec une princesse wisigothe...
     
    RESUME TOME 2: 573. Les ambitions de Frédégonde ont déclenché une guerre fratricide aux résultats
     incertains. Acculée, la nouvelle reine de Neustrie doit réagir. Faisant fi des obstacles qui se dressent devant elle, elle n’a plus qu’un seul but : prendre possession du pouvoir absolu. Pour ce faire, elle va user et abuser des plus viles stratégies et devenir celle que l’Histoire surnommera la Reine Sanguinaire.
     
    MON AVIS: Nouvelle série de BD que je tenais a vous faire découvrir. On pourra dire que je n'ai jamais autant lu de BD que depuis 3 ou 4 mois. Cette série a pour titre les reines de sang et parle de ses femmes qui a une époque ou elles auraient du resté dans l'ombre, sont sorti a la lumière et l'histoire en aura retenu que leur façon de faire.
    J'ai beaucoup aimé cette série qui parle d'histoire, tiens pour changer!! Et quelle reine! Frédégonde qui pour arriver au pouvoir n'a pas hésité a faire couler le sang, a d'après les historiens fait assassiné l'épouse de son amant la reine Galswinthe. Elle n'a pas hésité a faire couler le sang, a mettre en place des complots pour s'asseoir sur le trône et a se faire de redoutable ennemies, dont la reine Brunehaut, sœur de Galswinthe et épouse de Sigebert.  Cette BD regorge de haine, de tracas, de complots comme cela a du l'être a cette époque. Il y'a malgré tout quelques erreurs historique. Par exemple, la reine Brunehaut est la cadette de Galswinthe et non le contraire, de plus, Galswinthe était loin d'être jolie apparemment.
    Cela ne m'a pas empêché de savouré cette BD. Il faut dire que de toute l'histoire de France, la famille mérovingien est celle que je connais le moins, aussi bien sur la généalogie que sur les fait. Les dessins sont magnifique et très réaliste. j'ai beaucoup apprécié. Ils nous permettent bien de plonger dans l'univers de cette période ou tout n'étaient que complots, machiavélisme etc.. quoique ce n'était pas mieux après! Cette série de BD est un petit bijou pour découvrir ou redécouvrir l'histoire. De bonne BD que je suis ravie d'avoir découverte. Merci mon libraire de BD
    Pour info, sachez que la reine Frédégonde n'a jamais réussis a faire tué sa rivale Brunehaut mais que son fils Clothaire II la fit assassiné de façon effroyable: il l'a d'abord fait promener nue sur un chameau et a finis par la faire attacher a la queue d' un cheval fougueux qui l'a trainé sur les ronces. Elle avait 80 ans et Frédégonde était morte depuis 20 ans.

    Je vous met deux liens qui vous permettront d'en savoir plus si vous le souhaitez: sur Frédégonde et sur Brunehaut.

    dimanche 7 mai 2017

    Glacé de Bernard Minier

    RESUME: Décembre 2008, dans une vallée encaissée des Pyrénées. Au petit matin, les ouvriers d’une centrale hydroélectrique découvrent le cadavre d’un cheval sans tête, accroché à la falaise glacée. Le même jour, une jeune psychologue prend son premier poste dans le centre psychiatrique de haute sécurité qui surplombe la vallée. Le commandant Servaz, 40 ans, flic hypocondriaque et intuitif, se voit confier cette enquête, la plus étrange de toute sa carrière. Pourquoi avoir tué ce cheval à 2 000 mètres d’altitude ? Serait-ce, pour Servaz, le début du cauchemar ? Une atmosphère oppressante, une intrigue tendue à l’extrême, une plongée implacable dans nos peurs les plus secrètes, ce premier roman est une révélation !

    MON AVIS: Premier mot qui me vient a l'esprit après avoir refermé se livre, c'est conquise! Dans tous les sens du terme. Ah enfin un bon thriller qui s'il n'est pas forcément original, brille de tout ses feux pour ce qui est du coté oppressant, bien ficelé et qui vous tient en haleine a peine ouvert.
    On commence cette histoire avec le meurtre sordide d'un cheval. Bon vous me direz que c'est qu'un cheval mais c'est celui d'un homme influent donc forcément enquête. Tout se complique lorsque des hommes sont retrouvé mort comme le cheval. Le ou les mêmes personnes sont ils en cause?
    Voila le gros du livre, qui comme je l'ai dis au début est un bon thriller ou je me suis régalé pendant les 750 pages que je n'ai pas vu passer. L'auteur a fait un gros travail de recherche pour toute la partie qui touche a la psychiatrie. Le gros plus du livre c'est se coté oppressant rajouté par les descriptions de la montagne en pleine hiver de surcroit avec de la neige jusqu'au cuisse. J'avoue être resté sur les fesses quand au mobile et cela j'ai adoré car souvent on trouve vite le meurtrier et le mobile bien avant la fin du coup pas de surprise! La si ceux qui l'ont lu, ont trouvé, chapeau bas a eux car moi rien du tout. Je n'ai rien vu venir, car les détails pouvant nous aider sont long a venir pour pouvoir se faire une petite idée.
    Les personnages sont super crédible et on se prend d'affection pour Servaz mais aussi pour tout les personnages qui peuplent cette ouvrage. Ce livre est très bien écrit et je me suis d'emblée procuré la suite pour en savoir un peu plus sur Hirtmann. Ceux qui l'auront lu comprendront ce que je veux dire, les autres lisez le.

    samedi 6 mai 2017

    Jack l'éventreur de François Debois

    RESUME TOME 1: Londres 1888.
    Le Mal s’abat sur la capitale européenne, un monstre sanguinaire tue et dépèce des prostitués dans les bas-fonds de Whitechapel, on le surnomme Jack l’Éventreur. À Scotland Yard, l’inspecteur Frederick Abberline et son équipe mènent l’enquête. Entre lettres anonymes, dénonciations calomnieuses, milices qui font la loi et le peu d’indices qu’il recueille au fil de ses virées nocturnes, le commissaire s’égare…
    D’autant qu’il est secoué par les démons de son passé trouble. George Godley, son assistant, s’interroge sur son supérieur. D’inquiétantes coïncidences l’amènent à penser qu’Abberline est lié à tous ces meurtres…
    Tous les deux sont-ils prêts à découvrir l’insoutenable vérité ?

    RESUME TOME 2 Printemps 1889. Plusieurs mois ont passé depuis les événements qui ont ensanglanté Whitechapel et la vie a repris son cours pour tous les miséreux qui y résident. L’inspecteur Frederick Abberline fait la chasse aux souteneurs, qui ont fait mettre les bouchées doubles à leurs “filles” pour combler le manque-à-gagner imposé par Jack.
    Mais son obsession de justice le pousse à des méthodes peu conventionnelles pour Scotland Yard, et son fidèle compagnon George Godley le met en garde. Il est peut-être temps qu’il prenne le large.
    Une série de meurtres similaires dans leur mode opératoire à ceux de Jack a été commise à Paris. Tandis qu’Abberline traverse la manche pour débusquer le tueur, Godley est sollicité pour une nouvelle affaire : un docteur retrouvé éventré dans une pièce fermée de l’intérieur. Seul indice : un manuscrit en arcado-cypriote qui contient des révélations troublantes.
    Deux enquêtes, deux tueurs. Tout est lié, le protocole Hypnos est la clé et Abberline va devoir affronter l’insoutenable vérité : il est Jack l’éventreur.

    MON AVIS: Cette BD est en deux tomes et je préfère vous faire une chronique sur les deux tomes car on ne peut pas lire l'une sans l'autre. Cette BD revisite le mythe de Jack l'éventreur, se serial killer qui a sévit en Angleterre en 1888. Dés le début, l'auteur proposent  l'identité de Jack l'éventreur. Idée qui peut être intéressante mais complètement dépourvu de véracité. mais bon je ne suis pas dans un livre ou il est écrit que voici enfin la vérité sur jack l'éventreur. Rien de tel, a part une BD qui revisite un mythe toujours d'actualité.
    Je commence a en lire pas mal de ses livres et je dois avoué qu'a chaque fois je suis conquise. Je dois bien choisir, enfin la pour le coup, c'est mon mari qui a choisit.
    Outre les planches de dessins qui sont juste sublime, l'histoire peut être cohérente! De plus le styles des auteurs sonnent juste. Ils ne s'embarrassent pas de détails inutile et ne multiplient pas les personnages ou on pourraient se perdre. On suit comme dans un livre l'enquête avec intérêt au travers de ses deux tomes, ou se mêlent le suspens et un style accrocheur qui perdurent jusqu'à la fin de ses deux tomes. Je dois avoué que l'histoire de se tueur en série m'est connu car j'ai lu des livres le concernant. Il y'a aussi un téléfilm qui étaient passé en deux parties avec Michael Cane, je crois, dans le rôle d'Abberline. Le tome 1 rejoins d'ailleurs au début la théorie du téléfilm. Cette BD est vraiment très bien réalisé et j'ai beaucoup apprécié de me retrouver dans les rues de Witechapel pour essayé de découvrir aussi l'identité de se tueur qui a fait courir la police de Scotland Yard sans qu'on sache encore a l'heure actuelle qui c'est. Deux BD magnifique, pas trop violente, accessible a beaucoup de monde. Les éditions du soleil ont encore réalisé un magnifique ouvrage.

    lundi 1 mai 2017

    Persée et la méduse Gorgone de Clotilde Bruneau

    RESUME: Acrisios, roi d’Argo, est dans la tourmente. Les oracles lui prédisent que c’est le petit-fils qu’il attend désespérément qui signera sa perte. Après avoir enfermé Danaé, sa propre fille, dans un cachot aux murs de bronze, il décide de la livrer elle et Persée, le fils qu’elle a eu avec Zeus, aux périls de l’océan. Condamnés à une mort certaine, ils sont recueillis sur les rivages de l’île de Sériphos. Ici, le roi Polydecte est subjugué par la beauté de Danaé et, bien qu’elle s’obstine à refuser ses avances, celui-ci multiplie les assauts pour la conquérir. Agacé par son insistance et piqué dans son orgueil, Persée, devenu adulte, décide de le défier lors d’un banquet. Il promet de lui rapporter comme butin la tête de Méduse, la plus redoutable des sœurs Gorgones. Celle qui peut pétrifier quiconque croise son regard...

    MON AVIS: Et voila une BD de plus dans cette collection, après Thésée et Prométhée. L'histoire de Persée, je ne la connais pas vraiment. Quelques détails par ci par la, mais rien de bien concret. Grace a cette BD, ma lacune est comblé. Comme pour les deux autres livres lu dans cette collection, on retrace la mythologie a travers la BD qui est aussi bien faite que les précédents lu.
    Cette collection comme je l'ai déjà dis, est magnifique pour les yeux! Les dessins sont superbe et l'histoire est juste. Ce n'est pas dévié. Ici on suit les aventures de Persée qui est sacrifié avec sa mère suite aux prédictions des oracles qui ont dit au roi Acrisios que sont petit fils causera sa perte. Mais les dieux en ont décidé autrement et sauvent l'enfant et sa mère des périls de l'océan auquel le roi les avaient livré.
    Sinon vous connaissez peut être la méduse Gorgone qui est la plus redoutable des sœurs mais aussi mortelle. J'adore toujours autant ces livres qui sont une bonne idée et je me félicite d'y avoir mis le nez.  J'aurais manqué quelque chose, ça aurait été dommage. Sachez qu'il y'en a d'autre, mais ceux la sont en tome donc personnellement, je préfère attendre que les tomes soient sortie pour me régaler. Comme dans tous les livres, un petit bonus a la fin vous donne des explications supplémentaire sur l'histoire.
    un beau livre a garder et a relire avec toujours autant de plaisir.