dimanche 30 octobre 2016

Le haut royaume tome 1: Le chevalier de Pierre Pevel

RESUME: Un homme, un royaume, un destin. Il avait nom Lorn Askariàn. Certains disent que le malheur arriva par lui et d'autres qu'il fut celui par qui tout fut sauvé. Dans ses veines coulait le sang noir des héros condamnés. Le Haut-Royaume connaît sa période la plus sombre. Le roi est affaibli et la rébellion gronde aux frontières du territoire. En dernier recours, le souverain libère Lorn de ses geôles et le nomme Chevalier du Trône d’Onyx, chargé de protéger l’autorité royale. Héros valeureux et juste, Lorn est une figure d’espoir pour le peuple, mais il poursuit également un but secret : retrouver ceux qui l’ont maintenu en captivité, les uns après les autres… et leur faire sentir le goût de la vengeance.


MON AVIS: Premier livre que je lis de cet auteur et je suis absolument sous le charme.
L'univers est bien écrit, on ne se perd pas dans le détail qui reste bien dosé. Que dire de plus?
Pleins de choses en vérité: Une chose qui ne m'avais pas frappé et qu'un membre de LA m'a fait remarqué, c'est la similitude entre le début de ce livre et celui du comte de Monte Cristo de Dumas. J'ai appris en effet que Mr Pevel était un fan de cet auteur. Bon la ressemblance s'arrête la.
Ce livre est un condensé de personnages primaire ou secondaire que l'on va beaucoup apprécié ou qu'au contraire on va détesté. J'ai adoré le personnage de Lorn qui s'il a un coté sombre, pas a l'aise dans ses pompes si je puis dire, torturé qui a l'air de se fiche entièrement de tout,  a quelque chose d'humain et d'intègre même s'il ne le voit pas comme ça. L'auteur nous livre la un roman riche en beaucoup de choses: mystère, déduction, coté sombre, histoire complexe, détails fulgurant sans paraitre lourd. J'ai vraiment adoré du début a la dernière page. Mr Pevel nous donne quelques indice pour après nous fondre dans la masse et nous laisser pantelant et rongeant notre frein.
Il nous livre aussi des batailles épique ou on ne s'imagine pas forcément mais qui sont bien décrit
Arrive la fin: Je dois vous dire que lorsque je l'ai lu, j'étais en pause déjeuner a mon travail. Dieu merci!! sinon j'aurais hurlé. on ne s'y attend pas du tout. J'en parlais toute seule devant ma liseuse et j'ai une de mes collègue qui passait par la m'a regardé avec un point d'interrogation dans le regard. J'ai été obligé de lui expliqué pour ne pas passer pour une folle. Heureusement, j'ai le tome 2 dans ma liseuse, cela me permettra de vite continué cette histoire. Mais je vais attendre un peu la digestion.

Ce livre a été lu dans le cadre du challenge de licorne

C'est dimanche on visite


Et voici la fin du mois et le rendez vous de c'est Dimanche, on visite.. Comme vous le savez, c'est un rendez vous mensuel ou je vous emmène visité un lieu chargé d'histoire ou d'architecture, un trésor de notre patrimoine.

Ce mois ci je vous emmène ou j'ai passé mes vacances d'été dans le petit village de Marvejols  dans le département de la Lozère. Je vais vous montré l'église Notre- Dame -de- la Carce. En prime vous aurez droit a une petite visite de la ville.

En faite ce n'est pas tout a fait une église mais une paroisse. On dit église paroissiale
Voici en haut une vue sur l'église, en extérieur.

C'est partie pour la visite.
La collégiale Notre-Dame-de-la-Carce est une ancienne collégiale située à Marvejols dans le département français de la Lozère. La collégiale est désormais une église paroissiale rattachée à la paroisse Saint-Frézal, l'une des cinq paroisses du diocèse de Mende.



Voici sur ses photos, différentes vue de la paroisse.
Sur les deux photos du haut, vous pouvez admiré le détail de la porte avec la peinture au dessus.
 
 
 
Un peu d'histoire:
L'église primitive date du XIIe siècle. Son nom lui vient d'une légende qui lui est associée. Un prince de la maison d'Aragon (qui possédait le Gévaudan au XIIe siècle) était retenu prisonnier, et aurait été libéré par l'intercession de la vierge Marie. C'est la raison pour laquelle Notre-Dame-de-la-Carce (c'est-à-dire de la prison) est vénérée à Marvejols. Elle devient une collégiale en 1310.
La collégiale est détruite durant les guerres de religion, en 1586, lorsque les troupes de Anne de Batarnay de Joyeuse rasent Marvejols en réponses aux ravages des troupes protestantes de Matthieu Merle.
C'est à partir de 1654 que l'édifice est reconstruit, et c'est celui qui se dresse toujours à Marvejols.
De 1860 à 1867, Marcellin Laporte exécute le décor peint intérieur. En 1893-1895, ajout à l'extérieur des tourelles d'angle et de contreforts".
 Sur les photos ci dessous, vous pouvez voir différentes vue de l'intérieur. Sur les deux photos, a gauche et ci dessous, c'est la chapelle saint joseph.

 Désolée c'est un peu sombre. A  gauche vous pouvez voir le chœur



 En haut, la chapelle de la vierge

 A gauche, la chapelle de "la pieta". Sur la photo du haut le magnifique orgue qui si j'ai bien compris, a été récemment restauré. . Sur la photo du bas, voici l'intérieur de l'église tel que vous la voyez depuis la porte d'entrée.
 
Je vais vous montré des photos trouvé sur internet de l'église a l'époque , je ne peux pas vous dire les dates hélas, je n'ai pas trouvé l'info, mais je penche pour début 1900. En faite de photo, ce sont des cartes postales.


Et voila une vue de l'église sur la descente qui nous ramène a Marvejols dont je vais vous parler maintenant.  
 
Allez on situe géographiquement et on approfondie nos connaissance:
Marvejols, en occitan Maruèjols, est une commune française située dans le département de la Lozère, en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Marvejolais(es).
Sous le règne de Henri IV, Marvejols était une ville royale et la capitale du Gévaudan.
Cette ville comte environ 6000 habitants située dans la Vallée de la Colagne aux portes de l'Aubrac et de la Margeride, à proximité des Gorges du Tarn et des Causses.
  Voila une vue de la ville depuis le musée. Sur les deux photos du bas, vous pouvez admiré les deux cotés de la porte de chanelles. La première la montre a l'intérieur de la ville, l'autre a l'extérieur.

 
Voici maintenant la porte la plus connu: la porte du Soubeyran. Sur la photo ci dessous, voyez le détail des donjons. La photo juste en dessous, montre a droite le musée archéologique qui vaut le coup d'œil. C'est aussi l'office du tourisme.  





 La photo de la statue est celle d'Henri IV roi de Navarre et de France. Un peu d'histoire: je vous passe les détails de la période paléolithique, gauloise et celle du Moyen Age. J'arrive a l'époque de Henri IV qui a l'époque ne l'était pas encore.
La ville de Marvejols est vraisemblablement fortifiée dans les années 1360. La muraille dispose alors de trois portes : Soubeyran, Hôpital et Théron. En mars 1481, le roi Louis XI assura sa protection royale par ses lettres patentes
Au XVIe siècle, avec l'arrivée de la réforme, la ville se convertit au protestantisme sous l'impulsion de ses barons, les Peyre. En 1568, un décompte montre que les Huguenots représentent la quasi-totalité de la population de Saint-Léger-de-Peyre et le quart de celle de Marvejols. Outre les nobles et les notables, ce sont surtout des artisans et marchands liés aux métiers de la laine qui sont devenus protestants, sans doute au contact des Cévenols, très tôt gagnés au protestantisme, avec lesquels ils commercent.
Au lendemain du massacre de la Saint-Barthélemy, et du meurtre d'Astor de Peyre, Marvejols est prise et mise en état de défense par les protestants. La ville prend ainsi parti pour Henri de Navarre, futur roi Henri IV. Matthieu Merle, engagé par la veuve du baron pour venger son mari, en fera un de ses points de départ dans sa conquête du Gévaudan. Lors des ripostes contre les Huguenots menées par l'amiral de Joyeuse, la ville sera incendiée en 1586. De la petite ville des bords de la Colagne, il ne reste presque rien après le passage de de Joyeuse, qui l'a méticuleusement rasée. Cinq mille habitants, catholiques comme huguenots, furent indistinctement massacrés lors de la prise de la ville. En 1589, le roi Henri apporte son soutien a la ville et a ses habitants pour qu'ils puissent reconstruire leur cité. Si le Gévaudan voit ses impôts augmenté pour remboursé les dépenses de Joyeuses, ce n'est pas le cas de Marvejols qui s'en voit exempté. A partir de 1601, la ville est enfin reconstruite et depuis cette date, les habitants garderont une grande estime pour le roi qui aurait déboursé 55 000 livres pour reconstruire la ville.
Son statut de ville royale vaut à Marvejols de regrouper les « grandes familles » de notables et de nobles lozériens. Ces noms participent à la construction historique du pays. Certains existent toujours aujourd'hui à Marvejols.
Sur la photo du bas, une vue de la paroisse dont je vous parlais plus haut.



 Sur les deux photos ci dessous voici la porte du Théron. prise de chaque coté


 Voici différente vu des rues de la ville prise au hasard de ballade. Voyez comme les rues ont gardé leur charme d'antan.
Les façades des maisons et les commerces de la ville.
Sur la photo de gauche en bas avec les arbres, c'est la place Henri cordesse. Et la dernière photo est celle de l'hôtel de ville que vous trouverez en passant par la porte de  chanelles et en continuant tout droit. Si vous le désirez, pour vos enfants si vous passez par la, il y' a un centre équestre, ou pendant 2h on montrera a votre enfant les rudiments de l'équitation, ainsi qu'a pansé, soigné  et nettoyé son cheval. Le tarif est de 20 € ou un peu plus.

 C'est avec cette image que s'achève notre voyage au cœur de la Lozère dans la ville de Marvejols. Je vous dis a mois prochain.