dimanche 29 octobre 2017

C'est Dimanche, on visite...




Et voici la fin du mois et le rendez vous de c'est Dimanche, on visite.. Comme vous le savez, c'est un rendez vous mensuel ou je vous emmène visité un lieu chargé d'histoire ou d'architecture, un trésor de notre patrimoine.

Ce mois ci, je vous emmène moins loin que le mois dernier puisque l'on reste a Paris. Au mois de juillet, j'ai été visité l'opéra Garnier. Pour ceux qui me suivent sur LA, j'en avais parler sur mon suivis lecture. Vous êtes prêt ? on y va. Déjà pour situé un peu par le métro, vous avez trois lignes qui s'y rendent: la 3, la 7 et la 8. A part la 7, elle passent toute par république. Vous pouvez aussi y aller par le RER A et vous arrêtez a la station Auber.
Sachez qu'a part l'extérieur, car toujours beaucoup trop de monde devant, j'ai pris l'intégralité des photos. je m'excuse d'avance si certaine de sont pas top, car on n'a pas le droit au flash a l'intérieur.



Aller, on commence cette article par un peu d'histoire: L'édifice s'impose comme un monument particulièrement représentatif de l'architecture éclectique et du style historiciste de la seconde moitié du XIXe siècle. Sur une conception de l’architecte Charles Garnier retenue à la suite d’un concours, sa construction, décidée par Napoléon III dans le cadre des transformations de Paris menées par le préfet Haussmann et interrompue par la guerre de 1870, fut reprise au début de la Troisième République, après la destruction par incendie de l’opéra Le Peletier en 1873. Le bâtiment est inauguré le par Mac Mahon
Cet opéra a longtemps été appelé « opéra de Paris», mais depuis l'ouverture de l'opéra Bastille en 1989, on le désigne par le seul nom de son architecte : « opéra Garnier » ou « palais Garnier ». Les deux opéras sont aujourd'hui regroupés au sein de l'établissement public à caractère industriel et commercial« Opéra national de Paris ».
L'opéra Garnier fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le

 

Je vous passe tous les détails qui risquent de vous ennuyé plus qu'autre chose pour vous parler directement de comment et pourquoi il a été fait. Suite a un attentat sur la personne de Napoléon III le 14 Janvier 1858 a l'ancienne opéra de la rue le Peletier, qui fit 8 morts et près de 142 blessés. La construction d'une nouvelle salle dans une grande rue moins propice aux attentats est décidée par l'empereur, au lendemain même du drame, pour la construction de ce qui deviendra le nouveau lieu d'apparat de la haute société parisienne, puis déclare le projet comme étant d'utilité publique par arrêté impérial daté du 29 septembre 1860
Pour certains historiens, Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc semble à l'origine de l'idée d'un concours, craignant l'attribution du projet et la direction du chantier à Charles Rohault de Fleury, architecte ordinaire de l'Opéra et donc logiquement destiné à réaliser cette nouvelle commande. Selon l'avis d'autres spécialistes, ce sont Napoléon III et surtout son épouse, l'impératrice Eugénie qui souhaitent écarter Rohault de Fleury pour que Viollet-le-Duc, leur favori, en soit lui-même chargé
Toujours est-il que le concours pour l'édification d'une « Académie impériale de musique et de danse », largement ouvert et international, est donc organisé et annoncé dans un second arrêté du 29 décembre de la même année 1860. L'usage voulait jusque-là que l'on fasse directement appel à un architecte désigné. Haussmann propose, en cette occasion, un lieu dans Paris peu commode et plutôt mal adapté à ce type de projet.
 Portrait de Charles Garnier
Jeune architecte n'ayant pas encore fait ses preuves - ou si peu, Charles Garnier décide d'affronter ses pairs en participant au concours et de tenter de se distinguer parmi cent soixante et onze concurrents. L'événement est tel que tous les Parisiens et de nombreux provinciaux suivent de très près le déroulement de la compétition. Officiels, presse et grand public y vont de leurs propres commentaires et attendent impatiemment le résultat.
 
Je vous passe sur le reste et vous invite a consulter Wikipédia ou j'ai pris mes renseignements si jamais vous désirez en savoir plus. Je vous cite juste une date, celle de l'inauguration: le 5 janvier 1875.
Aller on entre.
Voila ce qui nous accueille une fois passer tout le toutim de l'achat des billets, des couloirs etc pour commencer la visite. ses photos représente une partie du grand escalier d'apparat  qui mène a la salle de spectacle, aux salons et aux foyer. IL y'a d'autres phots ou vous le verrez  sous un autre angle.    


 Sur la photo du haut et celle du bas, vous pouvez voir le premier étage.


 

 
 photo du plan de l'opéra.
Au hasard d'un corridor,  cette superbe statue.





 
 Photos du bas, vue du haut de l'escalier montré plus haut. Comme vous pouvez le lire, cela mène a l'amphithéâtre.

 
 En continuant la promenade, nous arrivons dans le grand vestibule
ou des costumes sont entreposé qui date de plusieurs années voir de plus d'un siècle. Certains sont de la flute enchanté, mais ne me demandez pas pour les autres je ne m'en rappelle plus.


 
 
 
Attention, ouvrez grand vos yeux amis lecteurs sur a pièce ou je vous invite maintenant. personnellement, je suis resté scotché! Vous allez comprendre pourquoi: alors ça vaut pas le coup d'œil? Bon vous l'aurez compris, ceci est la bibliothèque de l'opéra.
un mot sur cette bibliothèque: Près de 600 000 documents dont : 100 000 livres, 1 680 titres de périodiques et divers imprimés, 16 000 partitions, 30 000 livrets, 10 000 programmes, 10 000 dossiers documentaires, 250 000 lettres autographes, 11 000 matériels d’orchestre, 100 000 photographies, 30 000 estampes avec quelque 25 000 esquisses de costumes et de décors, soixante-dix mètres linéaires de dessins, cent mètres linéaires d'affiches et 3 000 archives dont 2 378 registres administratifs, créés à l'occasion des nombreux spectacles montés, opéras ou ballets, et des acquisitions réalisées au fil du temps.
On peut ainsi découvrir, au milieu des plus prestigieuses partitions manuscrites autographes conservées : Les Surprises de l'amour (Prologue : « Le retour d’Astrée ») de Rameau, Armide de Gluck, Ermione de Rossini, Tannhäuser (fragments autographes pour la « version de Paris ») de Wagner, Cendrillon de Massenet, Louise de Charpentier  Le Marchand de Venise de Hahn, Dialogues des carmélites de Poulenc.

y'a de quoi faire un??
Continuons notre chemin, voici ce que l'on découvre ensuite. Excusez moi c'est un peu flou, mais derrière une vitre, ce n'est pas évident. Si vous regardez bien, vous me verrez dans le reflet. Ceci représente les différents bijoux qui ont servis pour des spectacles.







En continuant après ce passage, vous allez voir toute une série de tableau et de portraits des danseurs et chanteurs qui se sont produit a l'opéra, je ne les ai pas pris en photo car il y'en avais beaucoup trop. Du coup je vous montre ce qui vient ensuite:
 Voici l'avant foyer. Je viens de m'apercevoir que je ne l'ai pas en photo. Celle ci est de wikipedia.


  sur les deux photos du haut et celle qui vienne ensuite, vous pouvez admiré le grand foyer sous plusieurs vues! Admirez les peintures au plafond. Superbe non? Personnellement, lorsque j'y suis passé, j'ai eu l'impression d'être a la cour de Louis XIV lors d'une présentation... J'ai eu la même pensée au château de Fontainebleau dont je vous parlerais dans un prochain article.





 Cette photo a gauche  a été prise depuis la rotonde du glacier dont vous allez voir les photos ensuite.
Sachez que se grand foyer a été inspiré de la galerie des glaces de Versailles, de la galerie du château de fontainebleau. Allez on enfile les robes d'apparat et on défile!!
 Voici le plafond qui était dans la grande salle Très abimée par des années d'éclairage au gaz, cette peinture est, depuis 1964, dissimulée par une seconde, œuvre de Marc Chagall. Cette dernière, accrochée par dessus l'œuvre originelle sur une structure en plastique selon la technique du marouflage, laisse ainsi ouverte la possibilité d'une restauration ultérieure de l'œuvre de Lenepveu.
Une maquette définitive, mise au point par Lenepveu avant exécution à l'échelle grandeur, permet de redécouvrir cet ouvrage : visible dans le musée du Palais Garnier, elle donne une idée générale du plafond qui ornait la grande salle avant la commande, en 1960, d'une nouvelle peinture à Chagall. Sur la photo, ci dessous, vous pouvez admiré la terrasse qui accède directement au grand foyer. Ci après une vue de l'extérieur.


 Vient ensuite après le grand foyer la rotonde u grand glacier.  Ceci est un autre espace qui accompagne le grand foyer .



Et on arrive au plus majestueux de l'opéra, j'ai nommé la grand salle avec ses parterres et sas balcons. Je met ici une petite parenthèse. Lorsque nous avons été visité avec mon mari, nous avons vu des personnes assis sur les fauteuils du bas. Du coup on a cherché pendant un moment pour essayé de trouver l'entrée et y accéder aussi, histoire de prendre des photos d'un autre angle. De guerre lasse, nous avons été demandé et cette partie est visitable que si on a un guide. Vous je ne sais pas, mais moi je n'ai pas trouvé ça très normal.


 Voici différente vues de la salle.
Située exactement au-dessus de la voûte de l'ancienne rotonde des Abonnés, la grande salle de spectacle constitue le cœur même du palais.
Épousant une forme en fer à cheval, avec ses balcons, ses loges et ses stalles sur cinq niveaux avec sa galerie supérieure, l'endroit est conçu suivant le modèle des théâtres dits « à l'italienne ». Garnier veut innover en concevant une salle proportionnellement plus petite que le volume gigantesque abritant les dispositifs scéniques. Ses caractéristiques dimensionnelles demeurent néanmoins impressionnantes : près de trente et un mètres de largeur, trente-deux mètres de profondeur sur vingt mètres de hauteur.
Sa jauge s'approche des deux mille places assises, avec un peu plus de mille neuf cents fauteuils
Ce lieu prestigieux est habillé dans des tons dominants de rouges et d'ors.


 Je ne suis pas très attiré par l'opéra ni les ballets, mais avoir le privilège de s'asseoir la et assisté a une représentation, je veux bien faire un effort. Sur une des photos, regardez bien la peinture du plafond que j'ai trouvé magnifique avec ses couleurs

 
 
 Et voila nous rebroussons chemin pour nous dirigé vers la sortie. Voici le grand vestibule dont je vous parlais plus haut au début de cette article.
 
Retours au grand escalier, passage obligé pour atteindre la boutique et la sortie.


par contre je ne peux pas vous mettre la photo que j'ai prise de l'ensemble du grand escalier car il y'a beaucoup trop de monde et vous ne verriez pas le coté majestueux de ce superbe escalier. Voici a la place une photo trouvé sur internet qui a le mérite de montré l'escalier sans visiteur.
 
Et voila la fin de notre visite.
Si jamais vous désirez y aller, je vous met les infos que vous devez savoir
 

Ouvert tous les jours de 10h a 16h30 - Fermé le 1er janvier et le 1er mai


Fermetures exceptionnelles





Lundi 23 octobre jusqu'à 11h30
Mardi 7 novembre jusqu'à 12hVendredi 10 novembre toute la journéeDimanche 19 novembre jusqu'à 14hDimanche 1er  avril jusqu'à 14h
Dimanche 24 juin jusqu'à 14hSamedi 9 décembre toute la journéeMercredi 13 décembre toute la journée







Fermetures à 13h*

Dimanche 12 novembre
Les dimanches 3, 17 et 24 décembre
Dimanche 28 janvier
Les dimanches 4, 11 et 25 février
Dimanche 25 mars
Dimanche 15 avril
Samedi  26 mai
Dimanche 3 juin

Fermeture toute la journée les dimanches 10, samedi 16 et samedi 23 décembre 2017, pour les Démonstrations de l’Ecole de danse.

En raison des Midis musicaux, le Palais Garnier sera fermé aux visites jusqu'à 14h les dimanches 19 novembre 2017, 1er avril et 24 juin 2018. 


je vous met les tarifs

Billetterie sur place aux guichets, bornes automatiques ou en ligne.
  • Droit d’entrée : Plein tarif : 11 € / Tarif réduit : 7 € (moins de 25 ans et détenteurs de la carte abonné à l’Opéra) / Gratuit : enfants de moins de 12 ans, personnes handicapées et leur accompagnateur, demandeurs d’emploi. Offre tarif réduit famille à partir de 4 personnes au guichet.

  • Sachez qu'il y'a aussi a l'entrée aussi des bornes automatiques
    a l'entrée en face de la billetterie qui est plus rapide que le guichet. Vous avez aussi un restaurant mais je n'ai hélas pas d'information dessus.
    C'est ici que s'achève notre visite de l'opéra Garnier. j'espère que comme moi vous aurez pris plaisir a cette visite et que par le biais de mes photos, je vous ai permis de vous en mettre plein les yeux comme moi j'en ai eu plein les miens a l'occasion de cette visite. Je remercie mon mari.
     
    Je vous dis au mois prochain pour un nouveau rendez vous de c'est Dimanche, on visite.