lundi 16 octobre 2017

La théorie Gaïa de Maxime Chattam

RESUME: Imaginez que des émissaires de la Commission européenne sollicitent vos compétences pour résoudre un problème urgent... et top secret. Imaginez que votre femme soit envoyée sur une île au bout du monde avec un parfait inconnu, et que l'on perde tout contact avec eux. Imaginez que vous vous retrouviez isolé par une terrifiante tempête au sommet d'une montagne en compagnie de scientifiques mystérieux. Imaginez que le nombre des tueurs en série ait été multiplié par dix depuis cinquante ans. Imaginez que ces événements soient liés par la violence des hommes. Vous n'avez toujours pas peur ?


MON AVIS: Hier en regardant mon blog pour essayer de mettre a jour mon index par auteur, je me suis aperçue que je n'avais pas chroniqué ce livre de Maxime Chattam. Honte a moi vraiment. Il avait été fait sur mon autre blog, mais comme je l'ai supprimé, il y'a tout un tas de livres dont je n'ai pas refait la chronique comme pour les arcanes du chaos, chronique que j'ai fais sur le tard.
Soyez indulgent car j'ai lu ce livre il y'a un baille et je vais essayé de me rappeler du principal pour pouvoir vous donner le meilleur avis possible.

Ce livre est le dernier tome de la saga du cycle de l'homme qui comporte entre autres les arcanes du Chaos et Prédateurs .  Autant l'avoué s'il devait y avoir un top 3, celui ci arriverait en .. 3e. Attention, je ne dis pas que je n'ai pas aimé, loin de la! Mais l'histoire m'a moins emballé par rapport aux autres.
Nous suivons en parallèle Emma, Peter son époux et Ben le frère de celle ci. Suite a un appel, ils se retrouvent dans un avion , Emma d'un coté et Peter et Ben de l'autre.
Voila ce que je me souviens! j'ai bien aimé les personnages de Peter et Ben que j'ai trouvé solide et près a faire face au danger.
Emma est très forte aussi de son coté et ne manque pas de piment.
 Pour en revenir a l'histoire, elle vous glace le sang! Bon pas autant que dans prédateurs ou je pense que la on a le coté gore dans toute sa splendeur,. L'auteur nous fait nous interroger sur nous même et aussi sur l'espèce humaine. Qui sommes nous au font? Ne sommes nous pas des êtres primitifs et rester des chasseurs? Notre nature ne sait elle pas endormi car nous vivons dans un monde sois disant civilisé? (je dis bien sois disant, car quand on voit certains...)
Comme dans pratiquement tous les romans de l'auteur, le suspens est présent a chaque page. Pesant aussi! On se sent comme dans une bulle et on a envie d'en sortir, tout en voulant resté immergé pour connaitre le fin mot de l'histoire. Ce que j'ai le moins aimé, c'est le coté longuet a se mettre en place, bon il faut bien que l'auteur pose ses bases, pour nous permettre de rentrer correctement dans l'histoire, mais je me rappelle qu'a certains moment, j'avais envie de sauter des passages entier car je m'ennuyais un peu. Surtout sur le coté scientifique.
Voila je pense avoir fait le tour de ce dont je me souviens, je ne veux pas en écrire plus, car se serait broder autour de ce que j'ai déjà dis. Et je n'ai pas assez de détails en tête pour en dire plus. Il Faudra que je le relise a l'occasion tient.

samedi 14 octobre 2017

Scotland Yard tome 1 et 2 Dobbs et Stéphane Perger

RESUME: Londres, 1890. L’inspecteur Tobias Gregson est une des valeurs montantes du Yard. Mais sa carrière serait accélérée s’il n’était pas considéré comme un humaniste trop sensible et avant-gardiste, et surtout s’il n’avait pas pour fonction principale d’être le défouloir quotidien de son supérieur Lestrade. Alors lorsqu’un transfert de prisonniers ne se passe pas comme prévu, Gregson se retrouve au placard. Un blâme qui va vite se transformer en opportunité afin de démontrer sa vraie valeur aux yeux du patron des patrons, le commissionner Fix. À la tête d’une équipe atypique réunissant un gamin des rues, ancien informateur de Sherlock Holmes, un médecin psychiatre aux méthodes atypiques ainsi que son étrange assistante, Gregson va faire alliance avec le diable : coopérer avec la pègre londonienne pour traquer deux fous extrêmement dangereux qui ont profité du fiasco de l’opération de transfert pour se volatiliser. Deux aliénés mentaux qui vont apprendre aux citoyens de Londres la signification du mot terreur. À leurs côtés, plongez à votre tour au cœur des ténèbres…

RESUME: À Londres, les jeunes femmes respirent de nouveau… Elles peuvent enfin sortir sans craindre de rencontrer celui que l’on nommait Carfax : ce tueur fou n’est en effet plus une menace, car il vient d’être mis hors d’état de nuire par les actions conjuguées de Scotland Yard et de la pègre.
Malgré ce succès l’inspecteur Gregson et son équipe savent qu’ils doivent mettre la main sur l’autre monstre qui s’est échappé de la prison de New Gate, et qui se cache toujours dans l’ombre. Sa traque finale débute alors que l’alliance entre policiers et malfrats montre ses limites.
Renfield, un nouveau cas clinique extrême pour le docteur Seward… Un terrifiant buveur de sang ayant régressé de façon quasi-animale après une enfance traumatisée. Un aliéné qui faisait trembler jusqu’à la plus grosse crapule de la prison. Un chasseur solitaire en quête de la seule chose qui puisse lui rappeler sa part d’humanité : les poupées d’une enfance brisée

MON AVIS: Attention BD a ne pas mettre entre toute les mains! Ame sensible s'abstenir car c'est un peu gore! Cette histoire commence déjà sur les chapeaux de roues, des femmes qui se font tuer, belle entrée en matière tiens! La couverture tient ses promesses lorsqu'on la regarde pour le première fois. Le scénario est bon, enlever et c'est mener tambour battant. Pas de temps mort, tout se succède a un rythme d'enfer. Peut être un poil trop mais bon. Lorsque j'ai vu que c'était une BD en deux tomes, je me suis dis que comme les autres, l'enquête va continué sur les deux tomes. Bon c'est un peu le cas, mais en faite il y'a deux tueurs!
je ne veux pas en dire plus car je ne veux pas spoiler, mais je pense que ça aurait mérité deux tomes pour chaque tueur. Cela n'enlève en rien dans la qualité de l'histoire, car j'ai été emballé par cette BD encore une fois.
Parlons du contenu maintenant. Le graphisme est particulièrement soigné! On dirait du dessin en noir et blanc, tellement le dessin a l'air d'être sans couleur. En aquarelle sans doute, avec les contours pas marqué. Autre surprise: il y'a des planches entières sans texte. Mais vous ne ressentez pas le manque! Bien au contraire, les dessins se suffisent a eux même. De plus les dessins ne sont pas linéaire, ce qui apporte un petit plus. Je veux dire que les cases ne sont pas rangé bien en ligne comme dans un album de Tintin. Non! vous pouvez avoir de grande case qui prennent toute la page avec a coté deux petite cases qui se battent en duel!
On rencontre aussi nombre de personnages qui nous parlent, tel Bram stocker, l'auteur de Dracula, Phileas Fogg, Lestrade et pleins d'autre que je vous laisse découvrir.
Le Londres de 1890  parait aussi très sombre ou il ne fait pas bond de mettre un pied dehors a la nuit tomber. Pour les fans de Sherlock Holmes, l'assistante du psychiatre me fait beaucoup penser a Irène Adler!
Sinon l'histoire comme je l'ai dis plus haut est très dense, très sombre et les dessins rajoutent ce coté un peu gore qui nous font pousser des "gloups" pour peu qu'on est l'estomac pas très solide. Perso, vous l'aurez compris, j'ai adoré cette BD.
Décidément, je vais devenir une accro de la BD. Bon pas n'importe laquelle, mais celle la je les relirais avec un vif plaisir




jeudi 12 octobre 2017

Dossier 64 de Jussi Adler Olsen

RESUME: A la fin des années 80, quatre personnes disparaissent mystérieusement en l'espace de quelques jours. Jamais élucidée, l'affaire se retrouve sur le bureau du Département V. Carl Morck et ses improbables assistants, le réfugié syrien Assad et la pétillante Rose, ne tardent pas à remonter jusqu'aux années 50 où s'ouvre un sombre chapitre de l'histoire danoise : sur la petite île de Sprögo, des femmes sont internées et stérilisées de force sous la direction du docteur Curt Wad, obsédé par l'idée d'un peuple " pur ".
Plongé dans une terrible histoire de vengeance, Mørck enquête cette fois dans le milieu politique opaque d'une société danoise où l'influence des extrêmes se fait sentir.

MON AVIS: Et voila, un nouveau cru des aventures du département V de fini. Et quel cru!! Si j'avais un peu moins aimé le précédent, je ressors enchanté de celui ci.
On a un bon concentré d'intrigue, de suspens aussi et un écheveaux de  nœud qui semble difficile a démêler.
En parallèle, de ce qui semble être l'enquête principale, on assiste a la vie d'une certaine Nete. Bien qu'au début, on se demande d'où elle sort, qui c'est plus un tas de question que je me suis poser, mais dont je vous épargne le détail.
Voila le décors est planté, place a la suite. On retrouve avec plaisir Carl, Rose, Assad plus les second rôle, si vous me pardonnez l'expression, mais qui sont bien présent dans la vie de nos trois héros. On en apprend plus sur la vie de Rose et Assad, bien que de son coté, le mystère plane toujours. Car si certains détails sont échappé de si de la au court de la lecture, le voile noir qui entoure la vie d'Assad reste aussi sombre qu'une nuit sans lune dans une campagne non éclairé. Et que dire de Rose et de son coté asociale, de sa je ne sais combien de personnalité et qui a un caractère pour le moins explosif mais qui est d'une efficacité a toute épreuve.?
L'auteur choisit comme thème de son histoire, un fait qui c'est vraiment passer apparemment, d'après ce que j'en ai lu. De plus, il manie les nœuds de son intrigue avec la précision d'un chef d'orchestre. Une intrigue que l'on croit simple comme bonjour et on a droit a une claque magistrale sur les 30 dernières pages, qui vous laissent pantelant.
L'auteur est d'un machiavélisme redoutable et on adore ça. Moi je dis bravo! c'est du grand art.
 
Ce livre a été lu dans le cadre du challenge de la licorne
note 4/5
 

mardi 10 octobre 2017

sherlock Holmes: crime alleys, tome 1 et 2 de Sylvain Cordurié et Alessandro Nespolino

RESUME: Mai 1876. Le Royaume-Uni connaît une vague de disparitions inquiétantes. Les communautés intellectuelles et scientifiques en sont les premières victimes. Nulle rançon n’est demandée et les autorités n’ont pas l’ombre d’une piste sur les motivations des ravisseurs. S’il arrive à Sherlock Holmes de prêter concours à Scotland Yard, il n’a pas encore choisi sa voie. Il se partage entre ses passions et mène une vie de bohème aux côtés d’un jeune musicien autrichien, violoniste virtuose promis à une grande carrière.
L’enlèvement de ce dernier conduira Holmes à se confronter au crime organisé et à en découvrir l’insoupçonnable noirceur.

RESUME:  la recherche de Ron Jantscher, kidnappé sous ses yeux quelques jours auparavant, Sherlock Holmes a connu son premier face à face avec James Moriarty. Une rencontre qui n’a pas tourné à l’avantage du futur résident de Baker Street. Enlevé à son tour, il a assisté en spectateur impuissant à la mort du jeune musicien. Son espérance de vie ne s’annonce guère plus grande. Heureusement pour lui, les Moriarty se sont fait un ennemi en la personne de Tyron Paterson, un homme qui était à leur service jusqu’à ce que James assassine son frère…

MON AVIS: Une BD qui remonte a la source et aux origines du célèbre détective et qui explique la rencontre de Moriarty avec Sherlock et aussi pourquoi il est devenu détective.
Coté graphisme, c'est très bien dessiné. Les couleurs sont douce, avec beaucoup de ton chaud mais un coté très noir quand même . Le scénario est bien ficelé et nous tient bien en haleine surtout a la fin du tome 1. Dieu merci, j'avais le tome 2 sous la main ce qui m'a permis de le lire direct.
Si Sherlock n'est pas le célèbre détective que l'on connait grâce a Conan Doyle, on voit que son esprit de déduction est bien présent. L'histoire tient bien en haleine du début a la fin des deux BD. Comme toujours avec cette collection, après avoir lu l'histoire, je passe toujours du temps a regarder les planches une par une, pour m'imprégner des dessins et capter le moindre détail.
L'histoire est quand même bien sombre avec toute ses disparitions qui sont au début inexpliqué. Puis on monte d'un cran dans la noirceur avec le meurtre de son ami musicien qui avait été enlevé sous yeux. On comprend a la fin du 1 ce qui lui arrive.
Ses idée de BD sont vraiment magnifique, autant pour l'histoire que pour les dessins. Je suis ravie a chaque fois que j'en ouvre une. Vu la collection qui est déjà sortie, j'en ai pour un bon moment de plaisir

dimanche 8 octobre 2017

Les reines au temps des bourbon: La reine et la favorite de Simone Bertière

RESUME: Louis XV, que son métier ennuie parce qu'on lui a infligé trop tôt des tâches trop lourdes, laisse prendre aux femmes qui l'entourent une place prépondérante. Fiancé à onze ans à une Espagnole, marié à quinze à une Polonaise, il débute sa carrière de séducteur par les trois sœurs de Nesle, avant que ne s'installe auprès de lui pour vingt ans Mme de Pompadour. […]
Des naissances, des amours, des conflits, des morts, sur fond de difficultés politiques croissantes. La monarchie absolue se décompose lentement, incapable de s'adapter aux changements qui travaillent la société : lorsque meurent la favorite, puis la reine, son destin est pratiquement scellé.
MON AVIS: Je me disais en commençant ce livre, que c'était une valeur sur pour moi. Pourtant c'est celui qui m'a le moins plu. Attention , je ne dis pas la qu'il est pas bien, que je n'ai pas aimé ou autre chose. Non je dis qu'il m'a moins captivé que tous les autres que j'ai lu avant. Peut être parce que la vie de Marie Leszczynska est un peu plus terne que celle des autres reines. Pourtant en parallèle, il y'a Mme de Pompadour dont la vie a quand même plus de panache!
Mais voila, je connais cette partie la, ayant lu un livre la concernant, bien que cela fasse un bout de temps.
Donc, après avoir assisté au décès de Louis XIV a la fin du volume précèdent, nous partons en campagne a la rencontre de son arrière petit fils Louis XV, celui qui ne voulait pas être roi. Bien que j'avoue avoir moins adhéré a ce livre, il reste captivant, passionnant riche en détail. Nous faisons la connaissance des femmes qui ont compté dans la vie de Louis XV avec en particulier Son épouse Marie et Mme de Pompadour qui fut sa maitresse pendant vingt ans .L'auteur raconte en parallèle, la vie de ses deux femmes qui furent peut être les préféré du roi.
J'avoue que si je n'ai jamais pleins  marie Thérèse, la femme de Louis XIV, j'ai eu beaucoup d'empathie pour Marie. Elle devait vraiment être une femme bien. Allez savoir pourquoi j'ai pensé ça au cour de ma lecture. Peut être parce que  j'ai l'impression qu'elle a vraiment aimé le roi jusqu'à sa propre mort? Contrairement aux autre reines!
 Ce livre s'arrête avec le décès de Marie. On a pas du coup la partie sur Mme du Barry. Ah bon me direz vous? Eh oui, vu que le titre est la reine et la favorite. Je suppose que comme les livres sont dans l'ordre chronologique, elle apparaitra dans la partie sur Marie Antoinette.
Grace a ce livre, qui fourmille de détails sur la monarchie, la politique le règne qui devient décadent , on comprend pourquoi il fut très difficile a Louis XVI de prendre la suite. Certains passages sont quand même super intéressant et d'autre beaucoup moins comme la partie sur la politique. J'avoue que ses parties m'ont ennuyé ferme et que je les ai lu en diagonale. Mais l'auteur maitrise son sujet et nous livre ce qu'a du être la vie de ce roi. Son style reste fluide, dense, précis mais sa plume reste agréable a lire pour les mordues d'histoire comme moi. Un bouquin qui nous fait passé un nouveau séjour a Versailles et que si j'ai moins aimé, n'en vaut pas moins la lecture ne serais ce que pour faire connaissance de tout ceux qui ont graviter autour de ce roi atypique. Je me demande toujours en lisant ses livres historique qu'est ce qui ce serait passer si le fils de Louis XIV avait régné ou son premier fils, ou le frère de Louis XV ( qui n'aurait pas été louis XV). Est ce que la monarchie serait resté en France ? ou bien est ce que ça n'aurait rien changer. De quoi faire débat mais bon avec des si....

dimanche 1 octobre 2017

Van helsing contre Jack l'éventreur de Jacques Lamontagne tome 1 et 2

RESUME: Deux ans se sont écoulés depuis le jour où Van Helsing enfonça un pieu de chêne dans le cœur de Dracula, mettant ainsi un terme à son règne infernal. Cependant, l’homme n’en est pas sorti indemne. Maintenant installé à Londres, Van Helsing est depuis plongé dans une profonde dépression. Désespéré de voir ainsi son ami prostré dans ses appartements, Abberline, inspecteur à Scotland Yard, lui propose de l’accompagner afin de mener enquête sur une série de meurtres perpétrés dans l’East End par un dément que la presse a surnommé “Jack l’Éventreur”.
Van Helsing finira par accepter. Débutera alors une nouvelle chasse contre le Mal…

RESUME: Alors que l'inspecteur Abberline prend de plein fouet les remontrances de ses supérieurs, Van Helsing s'abîme dans la morphine. Jack l'Eventreur court toujours, mais un fait nouveau relance l'enquête et l'intérêt de Van Helsing.

MON AVIS: Je continue mon petit parcours BD avec cette fois ci en scène Van Helsing personnage bien connu pour avoir traquer Dracula et autre personnage mythique de jack l'éventreur, tueur en série bien connu aussi.
On commence le tome 1 avec en prologue l'élimination de Dracula par Van Helsing, ce qui nous fait comprendre pourquoi on le retrouve torturé dans les pages suivante.
Faire traquer jack l'éventreur par Van Helsing est une bonne idée! Le réalisme des  dessins est saisissant. Les détails sur les cadavres est très bien rendu aussi.
L'histoire en elle même est très prenante et on cherche. Comment Van Helsing qui est devenu morphinomane, dépressif depuis sa dernière rencontre avec Dracula va arriver a se sortir de cet état et comment va t'il aider l'inspecteur Abberline dans cette traque infernale?
J'ai trouver cet BD très bien réalisé et le Londres du 19e siècle a l'air très proche de la réalité pour ce que j'ai pu en lire dans des livres qui traitait de cet époque et sur Jack l'éventreur. Eh oui j'ai lu des ouvrages dessus! Un poil macabre? pas plus que ça, mais j'étais curieuse de savoir si on avait l'identité de ce tueur qui a fait tremblé tout Londres pendant un moment. Bon apparemment, on en sait pas plus car les avis diverge. Mais Dans cette BD, on a une approche intéressante après avoir soupçonner tout le monde. Je ne vous en dis pas plus
Cette BD est très sombre de part ses dessins, ses détails mais aussi dans les textes. A ne pas lire si on est un poil déprimé, car on se passe la corde au coup! Non je plaisante.
Une chose est sur, tout est très réaliste, depuis les graphismes, jusqu'au plus petit détail. L'action se poursuit et est bien mené tout au long des pages. De plus le mystère et le suspens sont savamment dosé. Et quel fin! Pas vite expédié comme dans certains livres mais étalé sur quelques pages, histoire de nous tenir en haleine jusqu'au bout. Une collection a découvrir comme je l'ai déjà dis et que je suis ravie de vous faire partager. Mot de la fin: Après l'avoir lu, je l'ai repris rien que pour admiré les planches de dessins histoire de de ne louper aucun détails.

mardi 26 septembre 2017

Le paris des merveilles: tome 1: les enchantements d'Ambremer de Pierre Pevel

RESUME: Paris, 1909. La tour Eiffel est en bois blanc, les sirènes se baignent dans la Seine, des farfadets se promènent dans le bois de Vincennes... et une ligne de métro relie la ville à l'OutreMonde, le pays des fées, et à sa capitale Ambremer. Louis Denizart Hippolyte Griffont est mage du Cercle Cyan, un club de gentlemen-magiciens. Chargé d'enquêter sur un trafic d'objets enchantés, il se retrouve impliqué dans une série de meurtres. L'affaire est épineuse et Griffont doit affronter bien des dangers: un puissant sorcier, d'immortelles gargouilles et, par-dessus tout, l'association forcée avec Isabel de Saint-Gil, une fée renégate que le mage ne connaît que trop bien...

MON AVIS: Ce livre est une petite pépite. Un conditionné de bonne humeur, une petite bouffée d'oxygène dans un monde obscure. Je connaissais déjà l'auteur avec son haut royaume, un livre qui était beaucoup plus sombre et noir. Celui ci est vraiment une recréation.
Dois je vous dire que j'ai adoré de bout en bout? Je pense que vous l'avez compris. Ce livre est en haut en couleur avec de la magie, du rêve aussi. De plus habitant paris, je n'ai eu aucun mal a me transporter dans le Paris de 1900 imaginé par l'auteur! Que ce soit l'ile Saint Louis, quartier de Griffont, rue de Rivoli et tant d'autre que je ne vais pas vous cité.
Parlons des personnages: je les ai beaucoup aimé. Griffont tout d'abord, personnage qui m'a paru au début dans la lune tout en étant très sérieux dans ses compétences de mage; la comtesse de Saint Gil qui m'a semblé bien mystérieuse au premier abord et puis que j'ai bien apprécié. J'ai adoré ce couple un peu improbable qu'ils forment. Si différent mais en même temps si complémentaire. Leur dialogue avec leur nombreuse pic m'ont beaucoup fait sourire.
Le chat ailé Azincourt n'est pas en reste, très facétieux mais en même temps très proche de nos deux protagoniste. Mention spéciale aussi pour l'arbre Balthazar qui apporte une touche de romantisme.   L'histoire est bien mené et la plume de Pevel très efficace. On lit vite! pour savoir la fin.
Nous avons aussi droit a de nombreux clin d'œil que je ne veux pas vous révéler, histoire de garder la surprise. De plus, l'auteur nous interpelle directement, nous lecteur. J'ai eu l'impression de partager un secret. Comme je le disais plus haut, l'auteur nous décrit le Paris de la belle époque, mais il n'y a pas que ça! il a dut vraiment se documenter, pour avoir le souci du détail jusque dans l'habillage des personnages. Les nombreuses référence a Outre-monde, m'ont aussi fait penser aux livres les sœurs de la lune car beaucoup de détails sont identique.
Pour conclure, une lecture très positive et comme on reste un peu sur sa faim en refermant ce livre, j'espère que les deux autres tomes apporteront pleins de réponses. Comme c'est un intégrale, je les ai sous la main et ne vais pas tarder a rallumer la liseuse

Ce livre a été lu en LC avec elena88 et c'era una volta dans le cadre du challenge de la licorne. je met 5/5. Je rajoute la chronique de c'era une volta sur ce livre par ici

dimanche 24 septembre 2017

C'est dimanche, on visite

Et voila, la rentrée est passé et voici le retour de ma chronique de c'est dimanche on visite. Comme vous le savez, c'est un rendez vous mensuel ou je vous emmène visité un lieu chargé d'histoire ou d'architecture, un trésor de notre patrimoine.

Ce mois ci je vous emmène très loin dans l'Est. Plus précisément en Alsace a la découverte du château du Haut Koenigsbourg. Suivez moi!... Sachez que toute les sources, photos et articles sont issus d'internet car lorsque j'ai visité ce château, ce qui remonte a loin, le numérique n'existait pas !!

 Perché sur un promontoire rocheux au-dessus de la plaine d’Alsace et rebâti pour célébrer la grandeur de Guillaume II, empereur d’Allemagne, ce château est devenu, un des monuments les plus visités de France.
Ci dessus, une vue du panorama du château.



Allez un peu d'histoire:

Tout d'abord appelé Staufenberg, le site comprend dès 1147 des fortifications qui permettent de surveiller la route reliant l'Alsace du Nord au Sud et l'un des axes principaux d'Est en Ouest. Il appartient alors à Frédéric de Hohenstaufen, futur empereur du Saint Empire Romain Germanique. Le nom de Koenigsbourg (château du roi) apparaît en 1192.

Au XIIIème siècle, le château passe aux familles des Ratsamhausen et des Hohenstein. Devenu un repère de chevaliers brigands, le château est conquis et incendié en 1462 par une coalition regroupant Colmar, Strasbourg et Bâle.

Les restes du château du Haut Koenigsbourg sont alors confiés à la famille des Thierstein en 1479, qui le reconstruisent et l'adaptent à l'artillerie. A l'extinction de la famille des Thierstein en 1517, le château n'est plus entretenu et se délabre petit à petit.
Les fortifications ne résisteront pas aux Suédois, qui s'en emparent et l'incendient en 1633 lors de la guerre de Trente Ans.



Vue depuis le donjon. Magnifique non??

Le château est alors laissé à l'abandon. En 1899, le château est offert à Guillaume II de Hohenzollern, Empereur d'Allemagne (la région est alors allemande). L'empereur veut faire de ce château un symbole de la grandeur de l'Allemagne et décide la restauration du château du Haut Koenigsbourg.
La restauration est confiée à Bodo Ebhardt qui reconstruit le château tel qu'il était à l'époque des Thierstein (malgré quelques libertés prises ou erreurs). Le château du Haut Koenigsbourg est inauguré en mai 1908.
A la fin de la première Guerre Mondiale, le château devient bien national français.

Extérieur : le château du Haut Koenigsbourg impressionne par sa taille (long de 270 mètres) et la beauté de ses remparts. A l'Est et en contrebas du château (côté route) se situe un bastion en étoile qui servait à empêcher l'approche de canons et qui abritait un parc à animaux.
En remontant vers l'entrée, vous longerez les impressionnants remparts extérieurs (courtines), première ligne de défense, contenant plusieurs tours.
Poursuivez la promenade vers l'autre extrémité du château pour apprécier le grand bastion, flanqué de deux impressionnantes tours d'artillerie.
Ci dessous une vue des remparts.
Ci dessous, deux photos des deux portes d'entrée avec a gauche, la première porte à l'emblème de la famille des Thierstein (un animal en allemand=Tier se tenant sur une pierre=Stein), principaux constructeurs du château à la fin du XVème siècle. et a droite la 2e porte portant les doubles blasons des familles de Hohenzollern (famille de Guillaume II) et de Charles Quint (Famille des Habsbourg). Ces deux armoiries, comme de nombreux autres symboles, sont un signe politique, montrant ici la continuité des deux dynasties impériales.





 


L’architecture du lieu n’est pas facile à comprendre. Il faut dire que le château repose sur un éperon rocheux de 270 mètres de long sur 40 de large : partout, des murailles, des tourelles ; ici, une porte couronnée de lions, là une herse, un escalier à vis… et au-dessus, altier, le donjon, dont la reconstruction sur base carrée par Bodo Ebhardt suscita à l’époque de vives polémiques. Vous pouvez admiré sur cette photo, a droite le blason que vous avez en détail sur la photo du haut.
 
Maintenant, entrons a l'intérieur et voici ce qui nous accueille : de la cour principale vous avez accès à plusieurs annexes importantes, dont la forge, le moulin, l'auberge et une fontaine.
Cette cour mène aussi au corps du logis, par une porte surmontée elle aussi du blason de la famille des Thierstein. photo ci-dessous

C'est bon nous sommes a l'intérieur: l'intérieur du château du Haut Koenigsbourg est particulièrement intéressant de par sa restauration et son ameublement qui donne une vision de la vie des grands seigneurs du moyen-âge, malgré quelques salles "modernes" à destination de la politique de Guillaume II.

         La visite commence par un escalier menant à un pont levis, protégé par des meurtrières. Passé cette défense protégeant le logis, vous accédez à un puits fortifié de 62 mètres de profondeur. En rejoignant le logis, vous passerez par le cellier, belle salle voûtée, puis par une cour intérieure contenant une citerne de récupération des eaux de pluie et finalement par les cuisines.
La montée aux appartements vous permettra de découvrir un exemple de l'habitat de château. Les pièces nobles sont recouvertes de lambris et contiennent une cheminée ou un poêle en faïence (le kokelhof, typique de la région) ainsi que quelques meubles. Les fenêtres sont souvent équipées d'un coussiège, petite banquette qui permet aux femmes de s'installer à cet endroit pour recevoir un maximum de lumière et de réaliser des travaux de couture.
Voici la chambre, photo ci dessus. Ci dessous remarquez les meubles! Le genre qui tient pendant 4 générations!!

         En poursuivant votre visite vous atteindrez la salle des fêtes, la plus célèbre du château du Haut Koenigsbourg. Elle a un but clairement politique, au détriment de la restauration historique. La salle a une hauteur plus importante que celle d'origine (la galerie indique la hauteur initiale). Au plafond, l'aigle impérial domine la salle et englobe les blasons des différentes villes de la région. Sachez que
L’intérieur du château a bénéficié du même souci de reconstitution.
Le logis seigneurial est divisé en deux parties :
  • Le sud, autrefois réservé à la famille Thierstein, avec ses galeries en bois, une chapelle et une salle d’armes, présente aujourd’hui une collection d’armes blanches ;
  • Le nord, qui recevait les invités, abrite la chambre de l’impératrice, avec poêle et meubles d’époque.
Ils ont été rassemblés, comme tous les autres objets, par une association qui, de 1904 à 1918, s’est efforcée de remeubler le site. Mais la pièce la plus spectaculaire est la salle du Kaiser, au cœur du logis. photos ci dessous.

            Un peu plus loin vous pourrez visiter la salle des trophées de chasse, tous marqués du W de l'empereur (Wilhelm pour Guillaume). pas la plus intéressante si vous voulez mon avis!



Poursuivons notre visite a travers ce merveilleux château.  La salle d'armes abrite une importante collection d'armes anciennes et d'armures. Un poële en faïence équipé d'un petit siège chauffant est présent dans la salle.

Voici deux vues différente de la salle d'arme. La photo ci dessous montre un détail que vous voyez sur la photo ci dessus. En prévention d'une autre attaque...Hallebardes, arbalètes, cuirasses et côtes de maille : guerriers à vos armes.

En poursuivant votre visite vous passerez par la chapelle, une cour intérieure pour finalement atteindre le grand bastion.
Terminez par le jardin médiéval, inspiré de gravures de l’époque, avec ses carrés bordés de plessis, où les herbes « simples » côtoient les herbes « magiques », les plantes tinctoriales, celles qui nourrissent. De l’autre côté, le grand bastion, flanqué de deux tours, protège l’ouest, partie la plus vulnérable du château. Sa courtine a été aménagée en terrasse d’artillerie
Ne vous privez pas du plaisir d’y monter : la vue y est fantastique, du Hohneck au Grand-Ballon, en passant par les ruines d’autres nids d’aigles, châteaux de l’Ortenbourg, de Ramstein, du Frankenbourg. En vigie au-dessus de la plaine d’Alsace, le Haut-Koenigsbourg retrouve sa raison d’être.
 
 
 
Pour finir, voici différentes vue que je vous met de l'extérieur, histoire de vous en mettre pleins les yeux.






Cette photo ci après est l'escalier de style néolithique
Pour finir comme d'habitude, je vous met les renseignements au cas ou mon article vous a mis l'eau la bouche et que vous voulez aller le visité :

Le château fort est ouvert toute l'année sauf les 1er janvier, 1er mai et 25 décembre.
horaires de la billetterie
Janvier, février, novembre et décembre :
9h30 - 12h et 13h - 16h30
 
Mars et octobre:
9h30 - 17h
 
Avril, mai et septembre:
9h15 - 17h15
 
Juin, juillet et août:
9h15 - 18h
 
Le château ferme le soir 45 min. après la billetterie
Pour tous renseignements, du lundi au vendredi, concernant les horaires d'ouverture, téléphoner au +33 (0)3 69 33 25 00.
 
Tarif:
Plein tarif
9 €
Plein tarif jeunes de 6 à 17 ans
5 €
Tarif réduit adultes
7 €
Tarif réduit jeunes de 6 à 17 ans
4 €
Tarif réduit personnes en situation de handicap
4 €
Enfants de moins de 6 ans
Gratuit
Groupes
Par personne
Tarif professionnels du tourisme et Groupes à partir de 20 adultes
7 €
Tarif réduit jeunes de 6 à 17 ans (hors groupes scolaires et périscolaires)
4 €
Tarif groupes scolaires et périscolaires
2 €
Tarif groupes publics handicapés
2 €
Tarif réduit accompagnateurs de groupes scolaires et périscolaires
7 €
Personnes à mobilité réduite
Par personne
Accès à l'espace d'interprétation audiovisuel2€



Notre visite s'achève ici. Je vous conseille vraiment cette endroit qui est superbe. Je vous dis au mois prochain pour une nouveau rendez vous de c'est dimanche, on visite!!