Summerset Abbey, tome 1: Les héritières de T.J. Brown

RESUME: Londres, 1913. Prudence a grandi auprès de Rowena et Victoria, qu’elle considère comme ses sœurs, oubliant parfois qu’elle n’est que la fille de la préceptrice. À la mort de sir Philip, les deux orphelines sont recueillies par leur oncle au domaine de Summerset Abbey, mais pour rester avec elles, Prudence doit accepter de rejoindre le rang des domestiques.

Alors que le monde moderne frappe à la porte du manoir, la jeune femme se retrouve face à son  destin.


MON AVIS: Avis mitigé sure cette lecture. Franchement je ne sais qu'en penser! Je suis tiraillé entre deux. Je m'explique: le livre dans son ensemble, n'est pas trop mal. L'histoire tient plutôt bien la route, il y'a quelque chose d'intéressant qui en ressort mais pour moi, ça ne suffit pas. Voila, j'ai eu l'impression, pendant toute ma lecture, de savoir tout a l'avance comme si je l'avais déjà lu. Ce qui n'est pas le cas, bien sur! J'ai trouvé l'ensemble beaucoup trop prévisible, comme cette histoire de secret dont tout le monde parle. Je l'ai vu arrivé gros comme une maison. Est ce que parce que je lis plus de thrillers et autres romans policier?? Je ne saurais le dire. Cela dit, c'est un roman léger, idéale entre deux grosse lectures. Mais je dois avoué qu'il ne me laissera pas un souvenir impérissable. Peut être que j'en attendais trop, ce que je trouve étonnant, car je n'ai pas lu plus de super avis que ça. Mais je pense que ce n'est pas mon style de lecture, tout simplement. Du coup je ne lirais pas les deux autres tomes. Sinon l'auteur écrit très bien, c'est fluide et on passe quand même un bon moment. Même si je n'ai pas accroché plus que ça, l'auteur sait faire en sorte que l'on continue malgré tout. C'est ce qui m'est arrivé: Par moment, je voulais passer des pages, mais il a fallu que je le lise jusqu'à la fin. Ne serais ce que pour savoir si j'avais raison sur cette histoire de secret. Pour moi, dans cette histoire, il manque un petit truc, quelque chose qui aurait fait que ce livre me laisse un bon souvenir, même si ce n'est pas la lecture du siècle. Dommage!